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Réunions de la BM et du FMI : Laaziz Faid à Washington Le ministre des Finances, Laaziz Faid, participera aux travaux des réunions de printemps de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI), prévues du 15 au 20 avril en cours à Washington, a indiqué hier, le ministère dans un communiqué.

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«Dans le cadre de ses engagements internationaux, le ministre des Finances, Laaziz Faid et en sa qualité de gouverneur pour l’Algérie auprès des banques multilatérales de développement, conduira une délégation de son département ministériel pour participer du 15 au 20 avril 2024, aux travaux des réunions de printemps du groupe de la Banque mondiale et du FMI, prévues à Washington D.C (Etats-Unis)», précise le ministère. Ces réunions qui constituent une occasion pour discuter des défis économiques mondiaux, du développement économique, de la stabilité financière et d’autres questions pertinentes, comprennent des sessions plénières, des séminaires, des tables rondes et des événements parallèles, où les participants pourraient discuter de politiques, partager des idées et rechercher des solutions aux problèmes économiques et financiers mondiaux. Elles offrent également un forum pour des rencontres bilatérales entre les représentants des pays membres, les dirigeants des institutions internationales et d’autres parties prenantes, ajoute la même source. A cette occasion, Faid prendra part aux réunions statutaires du groupe de la BM (Comité de développement, G-24, Comité monétaire et financier international…) et se réunira avec les hauts responsables de cette institution pour notamment, explorer les voies et moyens visant à renforcer la coopération entre les deux parties, à maximiser son impact, tout en s’assurant de son alignement avec les objectifs de développement de l’Algérie. Faid aura également à participer aux côtés des autres ministres des Finances et gouverneurs des banques centrales de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) à la réunion programmée avec la directrice générale du FMI et à rencontrer les hauts responsables de cette institution pour échanger sur les tendances économiques mondiales actuelles, les défis et les opportunités ainsi que les perspectives de croissance économique et de stabilité financière. En marge de sa participation à ces réunions de printemps, le ministre des Finances rencontrera ses homologues des autres pays membres et les hauts représentants d’autres institutions financières internationales et régionales pour discuter de questions bilatérales, en sus de sa participation à des évènements parallèles, selon le communiqué.

 

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Réunions annuelles de la BID : Laaziz Faid à Riyadh Le ministre des Finances Laaziz Faid, participe aux réunions annuelles du groupe de la Banque islamique de développement (BID) qui se tiennent du 27 avril au 1 mai à Ryad, a indiqué hier, le ministère des Finances dans un communiqué.

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  M. Faid s’est rendu samedi à la capitale saoudienne pour participer à ces réunions, «dans le cadre de la poursuite de son agenda de rencontres internationales en sa qualité de gouverneur pour l’Algérie auprès des banques multilatérales de développement», selon la même source. L’édition 2024 des réunions annuelles de la BID portera sur le thème : «Chérir notre passé et tracer notre avenir: originalité, solidarité et prospérité». Ces réunions coïncideront avec le 50e anniversaire de la création de cette institution et connaîtront une participation de haut niveau, comprenant des chefs de gouvernement et des ministres des Finances et de l’économie du monde arabe et musulman ainsi que des dirigeants d’institutions de développement et du secteur privé, explique le communiqué. Au titre de ces assemblées, la délégation conduite par le ministre des Finances prendra part aux sessions des Conseils des gouverneurs de la BID, consacrées aux questions statutaires et à l’examen des activités de cette institution et de ses filiales ainsi qu’à l’adoption des rapports annuels des activités financières des institutions qui constituent le groupe de la BID. M. Faid saisira également l’opportunité de sa présence pour rencontrer certains de ses homologues et des responsables d’institutions financières régionales et internationales, en vue d’échanger sur les multiples défis auxquels font face les différentes économies ainsi que sur les perspectives socio-économiques de la région et examiner les possibilités de nouvelles pistes de coopération et de partenariat, indique le document. La BID est une institution multilatérale de développement créée en 1974 en vue de promouvoir le développement humain, en concentrant ses efforts sur les volets prioritaires portant sur la réduction de la pauvreté, l’amélioration de la santé, la promotion de l’éducation, l’amélioration de la gouvernance et la réalisation de l’objectif de prospérité des populations. Elle s’est constituée ensuite en groupe d’institutions spécialisées par la création de quatre autres filiales: la Société islamique de développement du secteur privé, la Société internationale islamique de financement du commerce, la Société islamique pour l’assurance des investissements et des crédits à l’exportation ainsi que le Fonds islamique pour le développement. La BID est composée de 57 pays membres. L’Algérie qui a adhéré à la BID en février 1975 en qualité de membre fondateur, occupe actuellement la 10e position dans l’actionnariat de cette institution, selon le communiqué.

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Foncier économique : 1.545 demandes orientées vers l’investissement Le directeur général de l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI), Omar Rekkache, a souligné, samedi à Annaba, que l’attribution du foncier économique destiné à l’investissement est «fondée sur la nature de l’activité, celle-ci devant servir l’économie nationale et favoriser sa diversification».

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L’approche adoptée pour revitaliser l’investissement et créer une véritable dynamique dans ce domaine «repose sur le principe de l’efficacité économique et de la diversification des activités économiques», a indiqué le même responsable lors d’un séminaire régional sur l’investissement organisé à l’hôtel Seybouse International, en présence de 5 walis de l’Est du pays (Annaba, Constantine, El Tarf, Guelma et Souk Ahras), d’investisseurs, de porteurs de projets dans ces 5 wilayas, et de différents acteurs concernés par l’investissement.«Les réformes introduites dans ce domaine ont permis d’identifier des domaines d’activité à même de diversifier l’économie nationale et d’accroître son efficacité», a ajouté M. Rekkache lors de ce séminaire régional, première rencontre interactive de l’AAPI avec les investisseurs, avant de souligner que les «projets importants et majeurs» qui se profilent à l’horizon «démontrent l’attractivité de l’Algérie pour les investissements étrangers». Le DG de l’AAPI a également souligné que pour adapter l’attribution de foncier à la nature de l’activité économique, celle-ci devant être conforme à l’orientation stratégique de l’Etat visant à mettre sur pied une économie intégrée et diversifiée, capable de faire face aux «chocs» et à générer des opportunités d’emploi et d’assurer le bien-être social. Selon lui «les activités prioritaires pour l’attribution d’assiettes foncières économiques sont celles qui favorisent la création de nombreux postes de travail, et celles qui se substitueront aux importations» (activités produisant des bien actuellement importés), en plus des «activités proposant des solutions innovantes». Présentant un premier bilan des résultats obtenus par la plateforme numérique de l’AAPI, M. Rekkache a indiqué que la transparence présidant au fonctionnement de la plateforme a permis à cette dernière d’enregistrer «20 recours, pétitions et autres griefs sur un total de 1.545 demandes de foncier économique orienté vers l’investissement, et ce, depuis le lancement de la plateforme en février dernier». Il a précisé, à ce propos, qu’il était de la sorte «possible d’examiner et de traiter l’ensemble des recours, pétitions et griefs avec aisance». Ce séminaire régional, organisé sous le slogan «Orienter le foncier économique en tant que mécanisme d’encouragement et de promotion de la diversification économique», a donné lieu à des interventions sur les modalités d’octroi de foncier économique, sur le système juridique de l’investissement et du foncier économique, sur les qualifications et les opportunités d’investissement disponibles au niveau local, ainsi que sur les modalités de demandes de foncier au moyen de la plateforme numérique. Un débat s’est engagé aux cours des travaux entre les responsables centraux de l’AAPI et les investisseurs présents qui ont soulevé plusieurs préoccupations concernant, notamment, le procédé d’attribution de foncier économique et les formalités qui s’y rapportent.

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Baisse des taux d’intérêt des banques sur les crédits d’investissement : Une décision «salutaire» L’investissement est désormais érigé en «priorité» par les pouvoirs publics qui multiplient leurs actions portant sur les facilitations accordées aux investisseurs. 

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En plus de la nouvelle loi sur l’investissement qui constitue selon bon nombre d’observateurs, un acquis prometteur pour concrétiser un développement intégré et durable en Algérie, et les facilitations pour l’attribution du foncier qui fait que le nombre des projets inscrits au niveau de l’AAPI augmente sans cesse, le ministre des Finances, Laaziz Faïd,  vient d’annoncer, la baisse prochaine des taux d’intérêt des banques sur les crédits d’investissement. Une mesure salutaire à plus d’un titre et qui fait largement échos. «Cette concertation salutaire, à plus d’un titre, permet le renforcement de la dynamique des investissements, déjà en cours, dans notre pays et ouvre la voie à des perspectives prometteuses à même de faire face aux défis immédiats et futurs de notre économie nationale», a réagi dans un communiqué, le Conseil du renouveau économique algérien (CREA). Le syndicat patronal estime dans ce sens que c’est là, un «résultat de la concertation permanente hautement appréciée par les opérateurs économiques, entre les pouvoirs publics et le CREA». Sollicité pour sa part, Brahim Guendouzi, économiste, spécialiste en commerce international, a d’emblée souligné dans une déclaration à Crésus, que l’Algérie s’attelle à relancer l’investissement à la lumière de la loi 22-18 et ses textes d’application. Pour étayer ses dires, il a assuré que «les indicateurs macroéconomiques se sont nettement consolidés durant l’année écoulée, notamment après avoir réalisé un taux de croissance économique appréciable de 4,1%». «En plus de la possibilité donnée aux porteurs de projets d’accéder au foncier économique, à travers la plateforme électronique mise en place par l’AAPI, la dimension financement des investissements est actuellement à l’ordre du jour, car déterminante pour la concrétisation des projets soumis à l’AAPI, dont le nombre dépasse les 6000 enregistrements», détaille dans son analyse le professeur en économie et commerce à l’Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou.  Aussi, a-t-il ajouté, «la décision d’abaisser les taux d’intérêt relatifs à l’investissement s’inscrit dans le cadre de la nouvelle politique monétaire, plus expansive, que la Banque d’Algérie compte mettre en œuvre en vue de rendre le crédit bancaire attractif auprès des investisseurs». Selon lui, il va y avoir une baisse du taux d’intérêt directeur qui entraînera à son tour une réduction des autres taux applicables aux entreprises par rapport à leurs dossiers d’investissement. «Il reste entendu que cette action sur les taux d’intérêt doit être menée avec prudence car l’inflation y est encore à un niveau relativement élevé, même si une tendance à la décélération des prix est actuellement enregistrée», a relevé Brahim Guendouzi. Du point de vue de l’économiste, l’accès au foncier économique et le financement par le crédit bancaire ont souvent constitué les principaux freins à l’investissement. «La nouvelle vision économique préconisée par les pouvoirs publics sur la nécessité de lever tous les verrous qui bloquent les porteurs de projets, y compris l’impact négatif de la bureaucratie, et de façon générale sur l’amélioration du climat des affaires, s’inscrit dans le cadre de la consolidation de la croissance  et la diversification économique du pays», a-t-il fait savoir.

 

Yacine Ouffella

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