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Alerte météo : Pluies orageuses et vents forts Les prévisions météorologiques laissent entrevoir une transformation notable dans les conditions atmosphériques de plusieurs régions du pays.

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Photo: Shutterstock

L’Office national de la météorologie (ONM) a indiqué hier que des pluies affectent aujourd’hui plusieurs wilayas du pays. Ainsi les wilayas de l’Est et du Centre seront les plus touchées. La vitesse du vent atteindra 60 km à l’heure sur les régions du Nord, a ajouté l’Office. D’après les services de la météorologie, les régions centrales et orientales se préparent à accueillir un épisode pluvieux. Cependant, les régions occidentales oscillent entre un ciel nuageux et des éclaircies. Actuellement, les régions du nord du pays offrent des perspectives météorologiques allant de ciels partiellement dégagés à légèrement nuageux. Des averses, parfois orageuses, sont prévues, principalement dans les régions intérieures, les hauts plateaux, et la région des Aurès. L’Office national de la météorologie (ONM) a lancé une alerte spéciale annonçant l’arrivée de vents exceptionnellement forts sur plusieurs wilayas. Ces vents, soufflant avec intensité du côté ouest-sud-ouest, atteindront une vitesse notable entre 50 et 70 km/h. Ils commenceront à 15h00 et perdurant jusqu’à aujourd’hui. Les wilayas affectées par cette alerte comprennent Tipaza, Chlef, Mostaganem, Oran, Aïn Témouchent, et Tlemcen. En outre, des vents puissants venant de l’Ouest affectent également les wilayas de Tizi-Ouzou, Boumerdès, et Alger à partir de 18h00 jusqu’à 21h00.

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France : Le gouvernement dévoilé la semaine prochaine

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Le nouveau Premier ministre français, Michel Barnier, a confirmé, hier, qu’il dévoilerait la composition de son gouvernement la semaine prochaine. Présent à Reims pour participer aux journées parlementaires du parti Horizons d’Édouard Philippe, Barnier a déclaré à BFMTV que «la semaine prochaine, il y aura un gouvernement». Cependant, il na pas donné de date précise pour cette annonce. Nommé à Matignon le 5 septembre par le Président Emmanuel Macron, Barnier doit composer avec un paysage politique tendu à l’Assemblée nationale. Il lui faudra trouver un équilibre délicat pour former un gouvernement capable d’obtenir une majorité parlementaire, une condition essentielle pour éviter une motion de censure. Un compromis entre Macron et Barnier est attendu, avec des discussions en cours visant à représenter les diverses sensibilités politiques de l’Assemblée. Barnier a également annoncé ce mardi sur TF1 son intention d’«ouvrir un débat» sur la réforme des retraites, avec un accent particulier sur l’amélioration des conditions des personnes les plus vulnérables. Lors de son passage sur la chaîne, il a rappelé que la loi relevant l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans avait été adoptée «dans des conditions difficiles» en 2023. Tout en précisant qu’il ne souhaitait pas «tout remettre en cause», il a souligné la nécessité de dialoguer avec les partenaires sociaux pour mieux protéger les plus fragiles. Selon lui, ce débat doit se dérouler en concertation, en tenant compte des différentes sensibilités politiques. Le nouveau Premier ministre a également exprimé son souhait de respecter «toutes les forces politiques» au cours de son mandat. Il a admis que, «en raison des crises et de la guerre», il n’y avait peut-être pas eu suffisamment de travail collectif, mais a promis d’inclure l’avis de l’ensemble des acteurs politiques. Sa nomination intervient dans un contexte politique tendu, marqué par l’absence de majorité absolue à l’Assemblée nationale et par les démarches de l’opposition visant à destituer Emmanuel Macron. L’opposition critique le président pour ne pas avoir respecté la volonté des Français, exprimée lors des élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet derniers.

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Chine : L’inflation au plus haut

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La Chine a connu une forte hausse de l’inflation des prix à la consommation au mois d’août, soit le rythme le plus rapide depuis six mois. Le principal facteur de cette hausse est l’augmentation des prix des denrées alimentaires, attribuée à des conditions météorologiques extrêmes qui ont affecté la production agricole. Alors que les prix des denrées alimentaires ont connu une hausse notable, l’inflation non alimentaire a légèrement diminué par rapport au mois précédent.

Malgré cette amélioration marginale, les craintes de déflation restent vives en raison de l’insuffisance du rebond. L’essentiel de l’impact inflationniste s’est concentré sur les prix des denrées alimentaires, qui sont sensibles aux perturbations liées aux conditions météorologiques et aux contraintes de capacité de production.

Notamment, l’inflation de base, qui exclut les prix volatils des denrées alimentaires et des carburants, a atteint son niveau le plus bas en trois ans et demi en août. L’augmentation des prix à la consommation a coïncidé avec une dépréciation du yuan chinois par rapport au dollar. Cette dépréciation s’est accompagnée d’une baisse record des rendements des obligations d’État à long terme, ce qui a amplifié les inquiétudes économiques et la demande des nouvelles mesures d’assouplissement monétaire.

Les incertitudes économiques ont incité les institutions financières internationales à revoir à la baisse leurs prévisions de croissance pour la Chine pour 2024, en invoquant le ralentissement de l’activité économique. Les critiques soutiennent que les politiques gouvernementales restent orientées vers l’investissement, ce qui risque d’exacerber les problèmes d’excédent de production existants.

Pour faire face aux pressions déflationnistes, l’ancien gouverneur de la banque centrale, Yi Gang, a souligné la nécessité de combattre la déflation lors d’un récent sommet. Malgré les récentes mesures politiques visant à stimuler les dépenses de consommation, telles qu’un programme d’allocation d’obligations, leur efficacité a été limitée.

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Tebboune plébiscité pour un second mandat avec un score de 94,65% : Le raz-de-marée !

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Sur un total de 5,630 millions de votes enregistrés, 5,320 millions ont voté pour le candidat indépendant, Abdelmadjid Tebboune.

Victoire écrasante. Le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi, a annoncé hier en fin d’après-midi, les résultats préliminaires du scrutin présidentiel du 7 septembre. Le choix de l’écrasante majorité des Algériens s’est porté sur le candidat Abdelmadjid Tebboune. Le souhait du Président sortant, qui demandait aux plus de 24 millions d’électeurs durant la campagne, de lui « renouveler la confiance pour cinq nouvelles années » à la tête du pays, se concrétise. Les résultats publiés hier, le désignent sans le moindre doute, « vainqueur», et dès le premier tour.
En effet, le candidat Abdelmadjid Tebboune a obtenu 94,65% des suffrages, «soit un total de 5 329 253 voix», selon les chiffres préliminaires communiqués par l’ANIE. Un véritable raz-de-marée. Très loin derrière, le candidat du parti du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abdelaali Hassani Cherif, arrive pour sa part en seconde position. Il obtient 178 797 voix, soit 3,17% des suffrages exprimés. Quant au candidat du Front des forces socialistes (FFS), Youcef Aouchich, il obtient un score de 2,16%, soit 122 146 voix. Ces résultats, encore «préliminaires et temporaires», selon les précisions de Mohamed Charfi, devront maintenant être communiqués puis définitivement validés par la cour constitutionnelle. Ils sont toutefois basés sur le dépouillement de « l’ensemble de bureaux de vote à l’intérieur et à l’extérieur du pays». Le président de l’ANIE ajoute que le «nombre de voix exprimées au profit des trois candidats est estimé, à 5 630 196 voix». La veille, les chiffres collectés au moment de la fermeture des bureaux de vote «à 20 heures», montraient déjà un taux de participation estimé à 48,03%. Un taux largement supérieur au taux de 2019, de 38,8%.
Par ailleurs, le président de l’ANIE s’est également exprimé sur le rôle joué par «l’Autorité, ses cadres et fonctionnaires», dans le bon déroulement du vote. Ainsi, l’ANIE a jugé le processus électoral « réussi». Mohamed Charfi a déclaré que «le processus électoral s’est déroulé dans des conditions tout à fait normales», soulignait plus loin «l’engagement de l’ANIE à garantir une élection honnête et transparente», tout en veillant à ce que «les voix des électeurs soient protégées contre toute falsification ou manipulation». Par ailleurs, Mohamed Charfi a affirmé, que l’ANIE avait accordé «une attention particulière» pour assurer «une compétition équitable entre les candidats». Selon lui, «toutes les conditions et exigences nécessaires pour encadrer correctement l’élection présidentielle, ont été rigoureusement mises en place». Il a également noté, que le déroulement des élections confirme «un niveau élevé de maturité électorale en Algérie, tant au niveau institutionnel qu’auprès du peuple». Quant à l’activité des trois candidats au cours de la campagne, le président de l’ANIE à préciser, que « 6 689 activités avaient été organisées durant la campagne, incluant 1 521 rassemblements publics et 5 168 rencontres de proximité. Très peu d’infractions ont été enregistrées, seulement 9 sanctionnées par 8 avertissements».
Quant aux atteintes aux règles d’affichage, le président de l’ANIE a dénoncé certains comportements, notamment les «affiches déchirées ou des affichages en dehors des espaces réservés». L’ANIE avait aussi fait savoir la veille, que la collecte des PV de certains bureaux de vote, avait été rendue difficile par les dernières intempéries au niveau de deux wilayas. «Les inondations qui ont touché Tamanrasset et Bechar ont retardé la collecte des résultats», a-t-il relevé.
Au cours de son prochain mandat, le président Tebboune devra relever plusieurs enjeux majeurs pour l’Algérie, incluant le développement économique, les questions sociales et le positionnement du pays sur la scène internationale. La manière dont ces défis seront abordés façonnera l’avenir du pays, dans les années à venir.

I.K. / Nadir K.

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