Actualité
Le Rabin d’Arabie Saoudite prédit la mort de Mohammed VI : Le Makhzen dans l’embarras !
Depuis l’annonce de la maladie de Mohammed VI a, déjà, déclenché une « guerre de succession » au sein de la famille royale
On ne parle pas de la corde dans la maison d’un pendu. Autoproclamé, le « grand rabbin d’Arabie saoudite ». Jacob Y. Herzog vient de lancer une prophétie, pour le moins surprenante. Ce Newyorkais, nécromancien, a annoncé la prochaine mort d’un dirigeant arabe. « Apprendrons-nous prochainement la mort d’un dirigeant arabe, même s’il n’est pas très vieux ? Sa famille va-t-elle cacher la nouvelle ? Dans tous les cas, son fils ne régnera jamais après lui », a-t-il écrit dans un post sur son compte « X », anciennement twitter, ajoutant que cette prophétie est « tirée des codes de la science ancienne… et Dieu est au-dessus de toute connaissance… ». Sans être sorti de Saint-Cyr, l’insinuation aussi claire et limpide que l’eau de roche pour comprendre qu’il s’agit du roi du Maroc, Mohammed VI. Et pour cause, il est le seul souverain arabe trainant une grave maladie chronique. Le roitelet du voisin de l’Ouest souffre de problèmes cardiaques et de sarcoïdose. Cette dernière, peu commune, est une maladie affectant le système immunitaire. Une maladie ayant, déjà, laissé libre cours aux spéculations la « mort » du roi du Makhzen. Le poste du rabbi Jacob Herzog est un signe de gravité de la situation, tant l’entité sioniste a fait « main basse » sur le royaume du narcotrafic. En effet, dans son poste, le rabbin d’Arabie Saoudite ajoute que « dans tous les cas, son fils ne régnera jamais après lui ». Tout cela se passe à un moment où l’influence sioniste phagocyte les leviers de décision chez le voisin occidental.
Ce qui laisse la porte à toutes les analyses. Au-delà de la « prophétie », il n’en demeure que l’annonce de la maladie de Mohammed VI a, déjà, déclenché une « guerre de succession » au sein de la famille royale. Ce qui a donné lieu à des luttes intestines ayant fait, mai dernier, selon des médias, de nombreux morts et blessés lors d’affrontements entre la garde privée de Moulay Rachid et la garde du prince héritier, Moulay El Hassan. Une « guéguerre » ayant poussé le Makhzen à chercher refuge dans les bras des Yankees. En effet, le Makhzen a entrepris un programme de modernisation des Forces Armées Royales (FAR), visant à renforcer ses capacités de défense et à améliorer ses équipements militaires. Un processus dans lequel les États-Unis, sur sollicitation du Makhzen jouent un rôle crucial en fournissant des équipements militaires de pointe. Pitre, le Makhzen, selon certaines sources, auraient sollicité l’intervention américaine au Maghreb. D’autant que la presse marocaine rapporte « Think tank » américain recommande à l’administration de Washington de « soutenir le Maroc », qualifié de pays le plus stable de la région, et de l’aider sur le plan sécuritaire et technique pour y faire face, notamment, à la pénurie d’eau, en plus de démontrer son engagement à résoudre le conflit du Sahara en exhortant les parties concernées, y compris l’Algérie, à reprendre les négociations dans le cadre du mécanisme de la table ronde. Une manière, à peine voilée, de pousser les Américaines à faire pression sur l’Algérie pour ranger dans les tiroirs son soutien à la cause sahraouie. Une sollicitation intervenant au moment où l’Algérie s’apprête à organiser librement l’élection présidentielle, prévue le 7 septembre prochain. Une élection signe de stabilité du pays, contrairement à d’autres ou les étrangers s’ingèrent dans la désignation du chef d’Etat. Une question d’intérêts, tant la forte implication de l’Algérie à l’international dérange, à commencer par le Makhzen et ses mentors. Et c’est justement cela qui dérange et qui fait bouger nombre de pays qui voudraient toujours voir l’Algérie en-dehors du champ international. En effet, l’Algérie, désormais plus assertive, perturbe les équilibres établis. Un retour remarqué de la stabilité et la sécurité, loin d’être des slogans creux ni de gros titre cachant l’échec et l’impéritie, qui ne sont pas sans susciter des critiques. Un come-back et une stabilité ayant permis d’attirer les investissements étrangers tant le climat des affaires s’est nettement amélioré grâce aux mesures prises par les pouvoirs publics, notamment une législation stable pour au moins une décennie. Une Algérie, forte d’une série de progressions et de croissance dans plusieurs secteurs d’activités, est devenue l’Eldorado des investissements. Américains, Chinois, Français, Russes et Malaisiens se bousculent au portion, contrairement au voisin de l’Ouest qui vit au rythme de série de grèves. Tandis que la normalisation avec l’entité sioniste a créé une fissure au cœur du Makhzen, alors que le Front marocain contre la normalisation avec l’entité sioniste, prend de l’ampleur, captant de plus en plus de citoyens.
Badis B.
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Sommet arabo-islamique: Le ministère des Affaires étrangères dément des propos attribués au président de la République
Dans un mélange indu du commentaire et de la déclaration officielle établie, un organe de la presse privée a, abusivement, attribué au président de la République des propos sans fondement.
Ces propos auraient été, selon cet organe, tenus par le ministre des Affaires étrangères au nom du président de la République à l’occasion du dernier Sommet arabo-islamique de Riyad, indique le Ministère dans un communiqué.
Comme en font foi la version écrite, autant qu’audiovisuelle, la déclaration algérienne au Sommet de Riyad n’appelle, en aucune manière et sous quelque forme que ce soit, à une réédition de l’embargo arabe de 1973.
Une simple lecture de cette déclaration suffirait à constater que les sanctions politiques, diplomatiques, économiques et militaires dont il est question sont celles dont l’Algérie appelle à imposer à l’entité sioniste pour l’agression, le génocide, ainsi que les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité qu’elle perpétue impunément à Ghaza et dans l’ensemble de la région, selon la même source.
R.N
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Nassim Bernaoui : « Le monoxyde de carbone tue à longueur d’année »
Nassim Bernaoui, sous directeur de la statistique et de l’information à la direction générale de la Protection civile (DGPC) a révélé, ce mercredi, que les services de secours ont enregistré 82 décès depuis le début de l’année en cours, provoqués par le monoxyde de carbone, et plus de 1 350 personnes ont été incommodés, secourues et évacuées vers les structures sanitaires.
Rappelant que le tueur silencieux a fauché la vie à 153 personnes en 2023, outre 3 033 personnes secourues, l’intervenant à l’émission « L’Invité de la matinale » de la chaîne II de la Radio algérienne a affirmé que depuis le début de la vague de froid dans le pays, quatre morts ont été enregistrés, alors que plus de 100 personnes ont été secourues après être affectées par le monoxyde de carbone dans leurs domiciles respectifs.
« Les quatre morts ont tous été tués par le monoxyde de carbone émanant des chauffe-bains, dont un jeune couple qui venait de se marier à Tissemsilt, car les détecteurs ne fonctionnaient pas à cause des batteries inversées».
« Certes, le nombre de morts est à la baisse, mais 82 morts en 10 mois, alors que la saison hivernale est à nos portes, il y a de quoi tirer la sonnette d’alarme et sensibiliser les citoyens pour observer la plus grande vigilance contre les émanations du monoxyde de carbone qui font des ravages», ajoute M. Bernaoui, précisant que « les secouristes ont remarqué que les décès dus au monoxyde de carbone interviennent à longueur d’année et les chauffe-bains tuent plus que les chauffages à cause des défections et de leurs mauvais emplacements et leurs mauvaises installations ».
R.I
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Réunion du Gouvernement: Suivi des progrès réalisés en matière d’amélioration des services publics
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a présidé ce mercredi, une réunion du Gouvernement consacrée au suivi des progrès réalisés en matière d’amélioration et de modernisation des services publics, en exécution des instructions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, indique un communiqué des services du Premier ministre
En effet, le Gouvernement a entendu des communications relatives aux mesures prises par les secteurs de l’Intérieur et des Collectivités locales, de la Poste et des Télécommunications, de la Santé et des Transports, pour répondre aux attentes et aux préoccupations quotidiennes des citoyens à travers l’amélioration de la qualité des services publics, notamment à travers la lutte contre la bureaucratie et la mise en œuvre de la transformation numérique.
Dans le cadre du suivi de la mise en œuvre des directives du président de la République relatives à la réalisation de la sécurité hydrique, notamment en matière de sécurisation de l’approvisionnement en eau potable au profit des citoyens des régions touchées par le stress hydrique, le Gouvernement a entendu une communication sur l’état d’avancement du projet de réalisation des 5 méga stations de dessalement d’eau de mer au niveau des wilayas de Tipaza, Boumerdes, Oran, Bejaia et El-Tarf, ainsi que le projet de transfert d’eau souterraine à partir du champ de captage El Guetrani à Beni Ounif, pour l’approvisionnement en eau potable de la population des villes de Béchar, Abadla et Kenadsa.
Le Gouvernement a également examiné un projet de décret présidentiel fixant les conditions et les modalités de réalisation et d’édification des œuvres artistiques dans les espaces publics et leur entretien, qui devra permettre d’assurer le respect des dimensions historiques, culturelles et sociales de la Nation algérienne, ainsi que les normes techniques et esthétiques dans la réalisation des différentes œuvres artistiques, stèles commémoratives et fresques murales.
Enfin, et dans le cadre de la poursuite de l’élaboration des projets de textes d’application de la loi n 24-04 du 26 février 2024, portant les règles de prévention, d’intervention et de réduction des risques de catastrophes dans le cadre du développement durable, le Gouvernement a examiné un projet de décret exécutif relatif aux plans d’intervention en matière des risques de catastrophes, fixant l’organisation et la coordination des secours et de l’intervention en cas de risque de catastrophe ou risque particulier touchant les installations et les ouvrages industriels.
R.N
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