Sport
FC Barcelone : Laporta pique le Real !
«Les relations avec le Real Madrid sont mauvaises, ils se sont impliqués dans l’affaire Negreira, et c’est inacceptable», tonne le patron du Barça.
Présent devant les médias mardi, le président du FC Barcelone Joan Laporta s’est montré remonté contre le Real Madrid. Sans surprise, le patron des Blaugrana n’a pas apprécié le comportement des Merengue, qui ont réclamé des sanctions contre le club catalan dans l’affaire Negreira. «Les relations avec le Real Madrid sont mauvaises, ils se sont impliqués dans l’affaire Negreira, et c’est inacceptable. Il y a aussi des demandes par rapport aux journalistes… Qu’ils fassent ce qu’ils veulent et nous ferons la même chose», a piqué le boss du vice-champion d’Espagne. On attend désormais la réponse du président du Real Florentino Pérez.
Par ailleurs, Laporta s’est expliqué sur le départ du milieu de terrain Ilkay Gündogan qui a été libéré afin de revenir à Manchester City. Lors de ses adieux aux Blaugrana, l’Allemand a expliqué que son choix avait été dicté par des raisons financières afin d’aider le club catalan. Une version contestée par le président du Barça Joan Laporta. «C’est un grand joueur et une excellente personne. En un an, il nous a montré qui il était. Mais après une réunion avec Flick et une évaluation de la situation de l’équipe, il a décidé qu’il voulait partir. Il s’agit uniquement d’une décision sportive. Elle n’a pas été économique, mais les répercussions économiques ont été bonnes pour nous. C’est une décision sportive du Barça et de Gündogan. Il s’agit d’une décision sportive du joueur», a insisté le patron du leader actuel de la Liga.
Lewandowski sous le charme de Flick
L’attaquant du FC Barcelone Robert Lewandowski admet que le style de l’entraîneur Hansi Flick est très différent de celui de son prédécesseur Xavi. Flick réussit actuellement des débuts parfaits à la tête de Barcelone. Il a remporté l’ensemble de ses quatre premiers matches de la Liga, dont un récent 7-0 face à Valladolid. Lewandowski apprécie de jouer dans son équipe et déclare : «C’est quelque chose de différent, ça se voit. Nous n’avons pas eu de match comme celui-ci la saison dernière. Comme Hansi l’a dit dès le début, il veut créer une équipe offensive qui génère des occasions, marque beaucoup de buts et presse bien.» Tout en se réjouissant de cette entame en fanfare, Lewandowski a appelé à la prudence. Avec le vécu qui est le sien, il sait que rien n’est fait encore. «Nous avons bien commencé, parfois nous trébuchons et parfois nous réussissons, mais la saison est longue et beaucoup de choses peuvent encore se produire», a-t-il clamé.
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AS Rome : Ranieri à la rescousse
Six mois après avoir pris sa retraite, Claudio Ranieri devrait retrouver le monde du football pour effectuer une dernière pige. En effet, la Sky nous apprend que l’entraîneur de 73 ans est le grand favori pour prendre la succession d’Ivan Juric, renvoyé par l’AS Roma, dimanche. L’ancien coach de Leicester a pris la direction de Londres afin de rencontrer la famille Friedkins, propriétaire de la Louve. Pour rappel, Ranieri a été formé et a débuté sa carrière professionnelle de joueur avec les Giallorossi. Il a dirigé la Roma à deux reprises (2009-2011 puis 2019).
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Rennes : Sampaoli demande du temps
En remplacement de Julien Stéphan, limogé la semaine dernière, le Stade Rennais a fait appel à Jorge Sampaoli comme coach. Le technicien argentin a été officiellement intronisé ce mardi. Il en a profité pour s’exprimer sur les raisons qui l’ont poussé à s’installer en terre bretonne. «J’ai accepté parce que le Stade Rennais est un grand club. Il s’agit de développer le club. C’est un projet constructif dans un pays que je connais et que j’aime. C’est un projet qui m’a plu», a-t-il confié. Une première déclaration qui a déjà fait jaser, puisque certains médias lui ont reproché de manquer de sincérité dès sa première prise de parole. L’ancien sélectionneur albiceleste a aussi évoqué les objectifs qu’il se fixe avec les Rouge et Noir : «Le premier objectif va être de connaître l’équipe, pour qu’elle soit mieux organisée, qu’on développe un fonctionnement collectif pour qu’on trouve une identité tout en renforçant la culture de jeu. Il faut aussi que l’équipe retrouve confiance.» Et un retour en Europe, cela fait-il partie de ses plans ? «Ce (l’Europe) serait mon souhait mais il va d’abord redonner forme à l’équipe. On verra dans un deuxième temps nos ambitions, il y a énormément de progrès à faire sur le fonctionnement et la capacité compétitive du groupe.»
Sport
Ballon d’Or : Rodri passe aux aveux
La remise du Ballon d’Or à la star de Manchester City Rodri Hernandez a provoqué une vive polémique en Espagne. Une controverse alimentée par la décision du Real Madrid de ne pas assister au gala et par un certain nombre de théories du complot sur la raison pour laquelle ce ne serait pas Vinicius Junior. Ce Ballon d’Or a été mal accueilli par la majorité du public international, mais Rodri n’a pas arrangé les choses avec ses célébrations. La star espagnole a déclaré qu’il n’était pas déçu de la réaction dans son pays d’origine, mais a également été interrogé sur les images qui ont émergé plus tard dans la soirée. Rodri et ceux qui célébraient avec lui ont été vus en train de chanter « Ciao, Vinicius » sur l’air de Bella Ciao, mais il a refusé de lui donner trop d’importance.
« Les gens doivent comprendre que c’est une rivalité saine, c’est une fête privée. Si nous mettons une caméra dans chacune de nos maisons… Je n’ai manqué de respect à personne, c’est juste une autre rivalité. J’ai du respect pour Vinicius », a-t-il déclaré à Cadena Cope. Il a ajouté qu’il aurait voté pour son coéquipier espagnol Dani Carvajal en deuxième position, puis pour Vinicius en troisième position. La prochaine fois que les deux hommes se retrouveront face à face, on saura si Vinicius y accorde une quelconque importance de son côté. Le Brésilien a été très déçu de ne pas avoir remporté le prix.
Par ailleurs, Rodri ne semble pas inquiet pour son club et ce peu importe la décision de Guardiola. «Quand j’ai signé à Manchester City, les gens m’ont dit : Pep partira l’année prochaine. Et il est là depuis 5 ans…, a rappelé le Ballon d’Or 2024 pour Radio COPE. On verra bien. Il est ambitieux, c’est lui qui décide de son avenir. Mais dans tous les cas, Manchester City restera Manchester City.»
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