La Une
Derby JS Kabylie-Olympique Akbou : 35 000 tickets en vente jeudi
90% des billets seront vendus d’une manière classique et le reste sur la plateforme Tadkirati.
Alors que le stade Hocine Aït Ahmed est d’une capacité de 50 000 places, il a été décidé de mettre en vente 35 000 tickets seulement pour le match inaugural, à savoir le derby kabyle inédit entre la JS Kabylie et l’Olympique Akbou, prévu vendredi prochain à partir de 18h, pour le compte de la deuxième journée du championnat de Ligue 1 Mobilis. «Le nombre des tickets sera revu à la hausse au fil des matchs. Pour ce match inaugural, 35 000 billets seront mis en vente, dont 90% d’une manière classique jeudi à Tizi-Ouzou ville au stade du 1er novembre, à Azazga et à Tizi-Ghenif. Le reste sera mis en vente sur la plateforme Tadkirati. La vente sur cette plateforme numérique sera par la suite adoptée et on encourage les supporters de la JSK à acquérir les cartes interbancaires. Les prix des tickets ne sont pas encore fixés», a confié à Berbère Télévision, le Directeur de la Jeunesse et des Sports de la wilaya de Tizi-Ouzou, Aziz Tahir. La gestion du stade Hocine Aït Ahmed a été confiée à la DJS de Tizi-Ouzou, via une Epic à caractère commercial. Des tribunes seront réservées à des familles et des vidéos explicatives seront diffusées sur la page officielle du stade pour aider les supporters à accéder aux gradins.
Des appels sont déjà lancés pour la préservation de ce nouveau stade et pour éviter les regrettables incidents survenus au nouveau stade Ali La Pointe de Douéra lors du match entre le MC Alger et l’US Monastir. «On considère le derby JS Kabylie-Olympique Akbou comme un match gala ou une fête et on fera tout pour que ce soit ainsi», dira Aziz Tahir qui a fait savoir que le stade Hocine Aït Ahmed est doté de 500 cameras de télésurveillance et les hooligans seront facilement découverts et dévoilés. L’ouverture des portes du stade est prévue à 13h vendredi prochain à l’occasion de ce très attendu derby kabyle.
Gaya Merbah quitte l’hôpital
Par ailleurs, le nouveau gardien de but et capitaine de la JSK, a quitté l’hôpital de Tizi-Ouzou, lundi, après avoir subi une opération chirurgicale au niveau de sa jambe gauche suite à la blessure qu’il a contractée lors du match amical contre l’US Biskra disputé sur le terrain principal du stade Hocine Aït Ahmed.
«Notre gardien de but et capitaine, Gaya Merbah, a quitté l’hôpital Nedir Mohamed après le succès de son intervention chirurgicale pour une double fracture au niveau de sa jambe gauche. La JSK assurera les meilleures conditions nécessaires pour sa rééducation », a-t-on indiqué dans un communiqué publié sur la page officielle du club sur Facebook. Les dirigeants de la JSK espèrent le récupérer durant la phase retour du championnat. «Notre staff médical reste entièrement disponible, mobilisé et suit de près l’évolution de son état. Il accompagnera Gaya tout au long de sa période de convalescence, avec l’optimisme de le revoir sur les terrains durant la phase retour», a-t-on précisé.
L.B.
La Une
Equipe nationale A’ : Madjid Bougherra nouveau sélectionneur
Madjid Bougherra est de retour chez les A prime. L’ancien capitaine des Verts a été nommé, ce jeudi, à la tête de la sélection nationale des joueurs locaux.
Le comeback du Magic a été acté lors de la réunion du Bureau fédéral de la Fédération algérienne de football (FAF) qui se tient aujourd’hui au Centre technique national de Sidi Moussa.
Pour rappel, Bougherra avait entrainé l’EN A prime durant trois ans, entre 2020 et 2023, avec laquelle il a remporté la Coupe arabe de la Fifa 2021 et fini second du Championnat d’Afrique des nations (CHAN 2022).
R.S
Actualité
Algérie-Burundi : «Volonté partagée de donner un nouveau dynamisme aux relations bilatérales»
Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, a déclaré ce jeudi, à Bujumbura que l’Algérie et le Burundi sont animés d’une «volonté politique partagée» de donner «un nouveau dynamisme et une substance plus grande» aux relations bilatérales notamment dans le domaine du commerce et de l’investissement.
«Je tiens à remercier Monsieur le Président de la République du Burundi de m’avoir honoré en me recevant aujourd’hui (Ndlr jeudi) alors qu’il doit présider un important évènement ici au Burundi en liaison avec la jeunesse, la paix, et la sécurité», a déclaré à la presse M. Attaf, à l’issue de l’audience que lui a accordée le président Evariste Ndayishimiye dans le cadre de sa visite officielle en qualité d’envoyé spécial du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
M.Attaf a indiqué avoir remis au président burundais «une lettre écrite de son frère le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et dans cette lettre, l’objectif reste pour l’Algérie comme pour le Burundi, le développement des relations bilatérales et la meilleure manière de servir le continent africain dans la conjoncture internationale particulièrement troublée par laquelle nos pays passent et par laquelle le système des relations internationales passe actuellement».
Et de souligner dans ce contexte: «Je peux vous dire qu’il y a une détermination partagée et une volonté politique partagée de donner un nouveau dynamisme, ainsi qu’une substance plus grande à ces relations bilatérales et nous sommes convenus de certaines mesures et de certaines échéances pour ce faire».
«Le président Evariste Ndayishimiye partage avec le président Abdelmadjid Tebboune cette idée de faire de nos deux pays et de nos deux nations d’abord des Nations émergentes, ensuite des nations développées», a ajouté M. Attaf.
Pour le ministre d’Etat, «l’Algérie et le Burundi ont cette ambition et ce souci de donner un nouveau dynamisme et une nouvelle substance à la coopération entre nos deux pays». Cela inclut notamment «le domaine du commerce et celui de l’investissement», a-t-il précisé.
Et, «nous serons présents aux côtés de nos frères et de nos sœurs du Burundi pour réaliser ces objectifs communs de nations émergentes et de nations développées», a conclu M. Attaf.
R.N
Actualité
Numérisation du certificat d’assurance automobile : Un secteur en mutation
Le secteur des Assurances en Algérie, est à l’aube d’une transformation majeure, avec l’introduction imminente d’une nouvelle loi.
A l’instar des autres segments du système financier domestique, le secteur des Assurances accélère sa transformation numérique, à travers la mise en place de nouveaux services et prestations digitalisées, notamment dans la branche automobile. Une approche contenue dans l’avant-projet de loi des Assurances, qui accorde une large place au processus de digitalisation et de numérisation, des produits et des services d’assurances, ainsi que la diversification des offres et canaux de distribution. A cet égard, un «comité ad-hoc travaille actuellement, sur le développement du projet du certificat d’assurance numérique, qui est actuellement en phase de test. Une fois cette étape achevée, le projet sera présenté aux autorités compétentes, pour sa mise en œuvre», a révélé, mardi dans une déclaration à l’APS, Youcef Benmicia, président de l’Union algérienne des Sociétés d’assurance et de réassurance, (UAR). Ce projet permettra aux assurés d’obtenir leur certificat d’assurance automobile en ligne, sans avoir à se déplacer dans les agences d’assurance. Ce qui va permettre de renforcer l’efficacité et la transparence et d’améliorer les services offerts aux assurés, assure Youcef Benmicia. Selon le même responsable, ce projet constitue une «transformation majeure» dans le processus de modernisation du secteur des Assurances en Algérie, car «il facilite les transactions pour les clients, réduit la consommation de papier et permet une vérification instantanée de la validité de l’assurance, grâce à des bases de données interconnectées entre les différentes compagnies d’assurances». De même, le projet, outre de simplifier la souscription et le renouvellement des assurances, renforce la transparence et réduit les risques de falsification, affirme Youcef Benmicia. Dans ce sens, le locuteur ajoute que «face aux transformations numériques rapides, l’UAR travaille également sur un ensemble de projets stratégiques, visant à moderniser le secteur et à garantir sa croissance durable». Le responsable a rappelé les progrès réalisés par les compagnies d’assurances algériennes, dans la numérisation de leurs services, notamment le suivi des contrats d’assurance, le paiement des primes et la soumission des demandes d’indemnisation, outre l’adoption par certaines compagnies, du système d’expertise à distance, en plus d’autres services visant à faciliter l’accès aux prestations d’assurance.
Et de mettre en avant les résultats obtenus, grâce à la plateforme numérique inter-compagnies d’assurances, dédiée à la branche automobile (e-recours), lancée en octobre 2022, avec des indemnisations dépassant les 12 milliards de DA.
Youcef Benmicia a également salué le succès de la mise en place d’une plateforme numérique, pour la souscription et l’émission des cartes d’assurance automobile, dans les pays arabes (carte orange), en collaboration avec le Bureau unifié automobile algérien, (BUAA). Désormais, toutes les agences d’assurance agréées peuvent souscrire à cette carte de manière électronique. A travers sa vision à long terme, l’Union des assureurs a assuré en définitive son Président, s’attelle surtout à achever le processus de modernisation et de transformation numérique du secteur, à travers l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, et l’amélioration du niveau de formation et de qualification des employés, afin de renforcer leurs compétences et d’optimiser les performances des compagnies d’assurances, a-t-il expliqué. D’autre part, l’Union «travaille actuellement, sur une révision de ses statuts qui n’ont pas été actualisés depuis plus de 10 ans, afin de s’adapter aux mutations économiques et financières que connaît le pays», a avancé Youcef Benmicia. Autant de mutations devant permettre d’augmenter la part du secteur, dans le Produit intérieur brut, (PIB). Une part ne dépassant pas le 1%, malgré la croissance continue de l’activité des assurances en Algérie et l’augmentation du chiffre d’affaires du secteur, passant de 23 milliards de DA en 2006, à 162 milliards de DA en 2023, grâce à plusieurs réformes.
Badis B.
-
Actualité2 ans
La nappe albienne : Une bombe à retardement ? La sécheresse qui sévit sur l'Afrique du Nord incite à envisager l’exploitation de ce réservoir d'eau souterraine au vu de la menace pesant sur les sources traditionnelles d'eau potable et d'irrigation de la région.
-
Actualité7 mois
TB Shop Algérie accusée d’escroquerie : Arnaque en ligne L'émergence des réseaux sociaux a certes ouvert de nouvelles voies pour le marketing en ligne, mais aussi entraîné une augmentation exponentielle des arnaques.
-
Actualité1 an
Numéro d’identification national (NIN) : Les dispositions applicables définies par décret Un décret exécutif relatif au Numéro d’identification national unique (NIN) a été publié au Journal officiel numéro 60.
-
Actualité4 ans
Démarches à suivre pour renouveler la carte CHIFA
-
Actualité2 ans
Il sera produit par la joint-venture algéro-italienne : Le premier hélicoptère algérien prendra bientôt les airs L’usine de production d’hélicoptères de l’italien Leonardo de Ain Arnat devrait entamer la production avant la fin de l’année. Son inauguration coïnciderait avec la visite en Algérie du ministre italien de la défense, Guido Crosetto.
-
La Une1 an
L’écho des réseaux sociaux : Véhicules : Facilité de paiement pour les chômeurs ? Une vidéo mettant en avant que le service de vente avec facilité de paiement « Taksit DZ » propose une offre inédite pour les chômeurs algériens a fait le tour de la toile et a accumulé plus de 88k réactions.
-
Actualité1 an
Historique du Bac sur 50 ans : Une «progression» mitigée Le taux de réussite au Bac de 50,63% enregistré se situe dans la moyenne « basse» des résultats des 20 dernières années, mais reste toutefois très important par rapport à «l’historique» du baccalauréat Algérien.
-
Actualité7 ans
Election présidentielle de 2024 : La classe politique dans l’expectative À 10 mois à peine, de l’élection présidentielle prévue en décembre prochain, la scène politique nationale demeure réticente.