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Mercato : Slimani ouvre le bal !

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Sans surprise, Islam Slimani a signé officiellement à l’Olympique Lyonnais, mercredi en début de soirée, après avoir passé la traditionnelle visite médicale. Slimani a même obtenu un bail d’un an et demi, et non pas une pige de six mois. « Je voulais vraiment venir et représenter ce grand club. Comme je le disais au président, quand j’étais petit, je venais souvent à Givors (commune de la métropole lyonnaise, ndlr). Et c’est un club qui me restait dans la tête. C’est un grand club, parmi les meilleurs en Europe. Tous les joueurs veulent venir ici. Depuis petit, ça m’est resté dans la tête. Je peux amener de l’expérience, de la combativité. L’année passée, j’étais peut-être inconnu du public français. Après Monaco, tout le monde connaît mes qualités et sait ce que je peux apporter à l’Olympique Lyonnais. C’est vrai que je n’ai pas beaucoup joué, mais j’ai beaucoup travaillé. J’ai fait d’énormes sacrifices pour compenser le manque de rythme. Avec un peu plus de travail, je serai prêt dans une semaine ou deux. Mon style de jeu, qui est d’être combatif, de se donner à fond, va me permettre de compenser le manque de rythme. Je vais me battre comme je l’ai toujours fait », a déclaré en conférence de presse « Super Slim », déterminé à rebondir, à nouveau, en Ligue 1 française. Le meilleur buteur en activité de l’EN ouvre et inaugure, donc, le mercato hivernal des Verts. D’autres internationaux algériens pourraient lui emboîter le pas et changer d’air à leur tour, cet hiver, à l’image de Riyad Mahrez, Aïssa Mandi, Andy Delort et Faouzi Ghoulam. Mahrez était déjà annoncé à la Juventus et au Real Madrid. Mandi a des touches en Turquie et en Angleterre. Delort est convoité par Wolverhampton et Ghoulam par Newcastle. Des surprises ne sont pas à écarter.

Larbi B.

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Arabie saoudite : Mourinho ne dit pas non… Libre depuis son licenciement de l'AS Roma en janvier dernier, l'entraîneur José Mourinho a été régulièrement annoncé dans le viseur des clubs saoudiens.

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Et sans surprise, le technicien portugais n’écarte pas l’idée de prendre la direction de l’Arabie saoudite à l’avenir. «Je crois que Cristiano Ronaldo a ouvert la porte, car les gens croient désormais que c’est possible d’être en Arabie saoudite, de vivre là-bas, de prendre du plaisir là-bas, d’apprécier le développement d’un pays qui veut devenir différent avec le football grâce à une passion qui se développe. Quand j’ai eu une proposition (d’Al-Hilal alors qu’il était à la Roma, ndlr), elle était bien évidemment importante économiquement, j’ai refusé car la Roma, le football européen, mes objectifs et mon engagement étaient plus importants pour moi. Si on me demande pour le futur, vous savez, avec mon expérience, il ne faut jamais dire jamais », a répondu le Special One pour Fabrizio Romano.

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Equipe de France : Passes décisives, Mbappé rejoint Henry L'attaquant Kylian Mbappé (25 ans, 77 sélections et 46 buts) n'en finit plus de grimper dans l'histoire de l'équipe de France.

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   Déjà troisième au rang des meilleurs buteurs avec un retard de 11 réalisations sur Olivier Giroud (57 buts), le joueur du Paris Saint-Germain est devenu ce mardi, en offrant l’égalisation à Youssouf Fofana face au Chili (3-2) en amical, le deuxième meilleur passeur des Bleus à égalité avec Thierry Henry (27 caviars). A l’avenir, Mbappé a de grandes chances de rattraper le recordman tricolore : Antoine Griezmann (30 passes décisives).

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L’Espagne et le Brésil se neutralisent : Du spectacle au Santiago-Bernabéu Il n’y a eu d’amical que le nom. L’Espagne et le Brésil se sont quittés sur un match nul (3-3) mardi soir au stade Santiago-Bernabéu.

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   Mais les deux sélections ont livré un spectacle d’une grosse intensité avec trois penalties, tous transformés au final. Des armadas de sortie, quelques bijoux mais aussi des cartons… Il y a eu du jeu devant un public espagnol qui doit se contenter que d’un nul et d’une défaite sur la fenêtre internationale…A trois mois de l’Euro.

Il n’y avait plus eu de rencontre entre l’Espagne et le Brésil depuis 2013. Avec le spectacle proposé, on regrette que cette confrontation soit aussi rare. Surtout que le duel était truffé de petites histoires : le brassard de capitaine du Brésil pour Vinicius Jr, qui n’avait pu retenir ses larmes la veille en s’exprimant sur la lutte anti-racisme, le doublé d’un Rodri qui sortait d’un drame familial ou encore le deuxième but en deux matches avec la Selecao pour le jeune Endrick (17 ans), le tout dans son futur stade… Bref, il y avait de quoi vibrer. Lui ne finira pas sur la feuille de stats et pourtant, Lamine Yamal restera le joueur de ce match. Petits ponts, roulettes, virgules… À 16 ans, la pépite barcelonaise a donné le tournis à la défense brésilienne et à Lucas Beraldo, qui devra se méfier lors du quart de Ligue des champions entre le PSG et le Barça. C’est Yamal qui a provoqué le premier penalty, transformé par Rodri (12e) pour concrétiser une nette domination espagnole en début de match. C’est également lui qui a été à l’initiative du deuxième penalty, concédé par Beraldo sur Dani Carvajal, et encore transformé par Rodri (87e). Auteurs d’une première période presque parfaite avec des ailiers en feu, les Espagnols auraient pu virer à 2-0 à la pause. Dani Olmo avait réalisé un enchaînement splendide petit pont-double contact « à la brésilienne » pour envoyer valser deux défenseurs, avant de conclure du pied gauche. Mais une erreur de relance d’Unai Simon, puni par un lob de Rodrygo, a laissé un espoir à des Brésiliens dépassés dans l’entrejeu en première période, en panne de créativité et de ballons.

Mieux revenus (quadruple changement à la pause), les hommes de Dorival Junior ont égalisé grâce à un corner revenu dans les pieds d’un Endrick tueur (50e). Ils ont également trouvé les ressources pour provoquer un penalty sur Carvajal, transformé par Lucas Paqueta (90e+6) et priver l’Espagne d’un succès dans un Bernabéu qui s’est régalé. En espérant attendre moins de onze ans pour retrouver ce choc.

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