Par Samir Méhalla
C’en est juste un peu trop !
Ce «fabuleux» clodo s’aventurant à outrager le président de la République, le traitant de tous les noms d’oiseaux. Honte !
Grand bravo au minable petit capitaine d’avoir, au-delà de toute attente, sinistré sa propre personne déjà en abâtardissement.
Chapeau !
L’on peut se demander qui «tuyaute» cette sous-maîtresse indésirable des services étrangers.
L’on peut se demander quelles étaient les raisons de ce fiel affiché à l’égard du peuple algérien, lui, le partenaire déclaré du 5e mandat de Bouteflika dont la télé a été financée par un clan, aujourd’hui en ruines. L’on peut se demander enfin de quel courage se déteint-il osant s’abreuver d’injures, sans éthique aucune, les symboles et les constantes de l’État, allant jusqu’à prendre exemple sur le président français, emblème d’un colonisateur ayant commis un génocide prouvé en Algérie.
La honte !
Il faut savoir que ce maudit individu, dit le porc de Paris, alias Aboud Hicham, n’est pas à sa dernière propagande. Engrossé par les officiers traitants marocains et toute la bande de la place Beauvau, il a tout l’air de vivre tout fier son racolage, sa misère intellectuelle et ses gestations de refoulement de conscience.
Honte !
Il est certainement dicté à cette trainée d’invectiver, de s’allier au diable pour gratouiller la sérénité d’une Algérie en quête de calme en entamant un processus d’une deuxième République, s’ambitionnant nouvelle.
C’est en l’occurrence ses proxénètes de l’autre rive qui ont permis à cette «shifouna» d’avoir sa carte de séjour à condition qu’il pointe constamment aux services via les réseaux sociaux, qu’il «crache» sa bave à l’endroit de l’Algérie et ses symboles, avec l’argent du contribuable français et marocain. Cette «Shifouna» ne traite jamais des invasions de l’Occident en Afghanistan, en Irak, en Libye, au Liban… les grands dossiers, les projets américano-sionistes qui ciblent l’Iran, de la relation indécente, voire incestueuse des sionistes avec les frères marocains, du génocide commis en Palestine, de l’islamophobie… Sa segmentation reste le pouvoir algérien.
Condescendant, hautain, vulgaire, narquois, caquetage d’un cannibale assoiffé de sang, regard d’un traître… il n’hésite pas à taguer la presse algérienne dans son ensemble la qualifiant de «sahafet bou doro», au moment même où il pratique la «sahafet bou euro» en omettant sa propre histoire avec une télé financée par « el issaba », allant jusqu’à interviewer Sellal, le responsable du MAK et des personnalités proches du Président déchu et son frère, et des électrons qui gravitaient autour du sérail l’ayant généreusement gratifié avec le pognon du peuple qu’il prétend défendre aujourd’hui.
Honte !
Sans toutefois oublier ce qu’il a empoché comme fortune de la manne publicitaire avec deux journaux du temps où le pouvoir de l’époque l’a grassement remercié pour service rendu…
On en reparlera.
Cependant, une question se pose : le pouvoir algérien, hommes politiques ou militaires, est-il aussi crédule pour se taire face à un sale type se bradant au plus offrant des services secrets de pays étrangers ?
Pourquoi, lorsque le seuil de l’intolérance est atteint, ne pas nous donner, nous, les moyens d’ester ce cafard, ce voyou qui ne parle qu’en dessous de la ceinture, en justice ? Non seulement les preuves filmées de ses débordements existent, la volonté de laver notre affront qui va avec, aussi. Aboud est un vrai cas d’école, qui joue le rôle d’attaché de propagande des labos occultes, chevauché par les services qui l’utilisent pour les sales besognes : garnir la galerie de faussaire, pour reprendre l’expression de Pascal Boniface.
Sans gêne aucune, il parle du hirak pour tenter de secouer le pays alors qu’il était le soutien de Saïd et son frère. En tant qu’ancien militaire chassé des institutions, il est certainement conscient que sa mission est nulle et irrecevable, car le peuple algérien est conscient et fier de sa souveraineté.
A en juger par ses fréquentations malsaines avec la Chaîne France 24, la danseuse alliée au makhzen, les aspirations du désordre en Algérie sont claires. La France officielle, qui se veut être dans les discours, l’amie de notre pays, devrait faire un geste en rappelant à l’ordre ce salaud qui est loin d’user du principe de la liberté d’expression, mais de mensonges et d’invectives, prêche le mépris parmi les enfants du même pays. L’ambassadeur de France en Algérie doit aujourd’hui savoir que ce scélérat, sous la protection de la France, ne manque aucun enregistrement pour insulter les journalistes algériens et le président la République…
S. M