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Justice : La demande de libération de Khalida Toumi rejetée

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La chambre d’accusation près la Cour d’Alger  a refusé, aujourd’hui,  la demande de libération l’ancienne ministre de la culture, Khalida Toumi. Placée en détention provisoire depuis le 4 novembre 2019, Toumi  est  accusée « d’octroi d’indus avantages dans les marchés publics » et « d’abus de fonction en accomplissant un acte en violation de le loi ». « L’enquête préliminaire s’est intéressée à l’ensemble des actes de gestion de la ministre entre 2002 et 2014, et particulièrement aux frais d’organisation de deux événements culturels sous la présidence d’Abdelaziz Bouteflika, à savoir, le Festival panafricain en 2009 et “Tlemcen, capitale de la culture islamique”, en 2011 ». Pour rappel, le 11 février dernier, la chambre d’accusation près la cour d’Alger a prolongé de quatre mois la détention provisoire de l’ancienne ministre de la culture.

Rabah Karali

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Amar Takjout, Secrétaire général de l’UGTA : « Il est impératif de revitaliser les entreprises » Dans le cadre des célébrations de la Journée Internationale du Travail, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a marqué son soutien et sa reconnaissance envers les travailleurs du pays en participant aux festivités organisées à la Maison du Peuple.

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   À cette occasion, le Secrétaire Général de l’Union Générale des Travailleurs Algériens (UGTA), Amar Takjout, a salué cette participation présidentielle, soulignant son importance en tant que « symbole de l’engagement » du Président Tebboune envers les travailleurs et leur rôle dans l’édification du pays.

Dans son allocution, le SG de l’UGTA a mis en avant les réalisations significatives dans le monde du travail, telles que les augmentations de salaire et les améliorations des pensions de retraite, dont ont bénéficié les travailleurs.

En outre, Amar Takjout a salué les décisions prises par le chef de l’Etat dans le domaine agricole, affirmant qu’elles ont contribué de manière « significative » à l’atteinte de l’indépendance alimentaire de l’Algérie.

Auparavant, le patron de la Centrale syndicale a souligné, lors de son passage au Forum de la Chaîne 3 de la Radio nationale, l’importance de cette journée pour les entreprises et les travailleurs, mettant en avant les décisions prises lors des Conseils des ministres en faveur des travailleurs, notamment les importantes augmentations de salaires et la revalorisation des retraites. Il a insisté sur l’importance de communiquer « intensément » « pour expliquer ces décisions et atténuer les problèmes liés à l’inflation ». Il a exprimé le besoin « urgent » de réguler le marché « pour contrôler la hausse des prix » et a souligné l’importance de prendre en compte les besoins des travailleurs dans un environnement de travail « sain et productif ».

En outre, il a mis en lumière l’importance de l’application des décisions de justice en faveur des travailleurs, soulignant que « leur non-application pose un sérieux problème ». Il a plaidé en faveur de l’instauration de mécanismes intermédiaires « avant de recourir à la justice », proposant que le Conseil National du Travail puisse jouer un rôle d’arbitrage avec les entreprises.

D’autre part, afin de favoriser l’autosuffisance et d’exploiter les excédents pour stimuler la croissance économique, Amar Takjout, a estimé qu’ « il est impératif de revitaliser les entreprises », exprimant des inquiétudes quant à la rapide absorption des augmentations salariales par l’inflation.

Il exprime des regrets quant au manque d’organisation syndicale parmi les travailleurs, notant que malgré cela, « l’UGTA est souvent sollicitée pour intervenir en leur faveur ». Il déplore également le « manque de reconnaissance aux syndicats par certains chefs d’entreprise », soulignant son engagement à « dialoguer » et à « éduquer » dans un esprit de respect des droits syndicaux dans une République où ces droits sont fondamentaux.

Pour l’orateur, « les travailleurs ont besoin de bien plus que d’un simple salaire ». « Ils ont besoin d’un environnement de travail sain, exempt de harcèlement et de pressions inutiles et contreproductives », a-t-il précisé. Il révèle que l’UGTA a créé un département dédié à la santé mentale et qu’elle abordera ces sujets lors de la prochaine conférence académique.

Il ajoute que l’UGTA travaille « activement » dans cette direction et « a lancé une enquête en ligne pour évaluer l’évolution des conditions de travail dans les entreprises ». Il affirme que les travailleurs « sont concernés par la transition climatique mondiale, qui entraîne à la fois des pertes d’emplois et des opportunités de création ».

En abordant les erreurs de gestion, l’invité de la Chaine III a plaidé en faveur de la dépénalisation de certaines actions de gestion courantes, relevant du quotidien des travailleurs et des cadres. Il souligne que « l’erreur est humaine et qu’il est nécessaire de prendre en compte sa nature et son contexte ».

Cependant, il estime que les actes de gestion prémédités « doivent être sanctionnés » affirmant que « la dépénalisation de certaines actions de gestion n’est pas un sujet tabou et qu’il est essentiel de promouvoir une meilleure compréhension de ces questions », soulignant que des règles claires existent déjà dans ce domaine.

D’autre part, il a révélé la tenue prochaine de trois conférences nationales exclusives avant la fin de l’année en cours. « Ces conférences, d’une importance capitale pour les travailleurs algériens, témoignent de l’engagement continu de l’UGTA envers leurs droits et leur bien-être », a-t-il soutenu. Ces conférences seront axées sur « la santé mentale au travail », « les enjeux liés au climat et à la numérisation » et « les droits des travailleurs et les décisions de justice qui ne sont pas appliquées ». Ces conférences rassembleront un large éventail de parties prenantes, « notamment des magistrats, des représentants de syndicats, des chefs d’entreprises et des représentants du ministère du travail », a révélé Amar Takhdout. « L’objectif est de créer un dialogue constructif et de trouver des solutions aux défis auxquels sont confrontés les travailleurs du pays », a-t-il expliqué.

Assia M. 

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Le Président Tebboune : « Rappelez-vous du temps de la Issaba ! » Le chef de l’Etat a dénoncé les discours mensongers qui prétendaient que le Trésor était dans l'incapacité d'assurer le paiement des salaires des travailleurs et la corruption qui avait rongé tous les secteurs durant le règne de la Issaba.

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C’est un véritable discours-bilan auquel s’est livré, hier, le président de la République Abdelmadjid Tebboune. Président la cérémonie officielle pour la célébration de la journée internationale des travailleurs au niveau de la maison du peuple à Alger, le chef de l’Etat est longuement revenu sur les réalisations et les acquis des travailleurs. S’exprimant à cette occasion, le Président Tebboune est revenu sur la situation désastreuse dont se trouvait le pays avant 2019 durant le règne de la bande. « Nous nous rappellerons toujours des discours vides prétendant que le Trésor était en déficit et dans l’incapacité de verser les salaires des travailleurs, et que les réserves de change étaient arrivées à leur plus bas niveau alors que la corruption atteignait en revanche son paroxysme et qui a gangréné tous les secteurs de l’économie. Une période où la classe des travailleurs et les couches moyennes et fragiles de la société ont été totalement abandonnées » a-t-il déclaré. A cet égard, le Président Tebboune a assuré que l’objectif de ces pratiques était de toucher le moral des algériens. « Ils voulaient présenter sur un plateau l’Algérie à l’étranger et la soumettre au FMI. Heureusement le hirak béni a sauvé le pays de ces pratiques » a-t-il affirmé. Dans cet ordre d’idées, le Président Tebboune a exclu tout recours à l’endettement extérieur, en hommage aux Martyrs, soulignant que « les objectifs des plus hautes autorités du pays sont focalisés sur la préservation du pouvoir d’achat des citoyens ». D’autant, a-t-il ajouté, que « le PIB (Produit intérieur brut) a atteint, à la clôture de l’exercice 2023, quelques 260 milliards de dollars, alors qu’il se limitait à 64 milliards de dollars en 2015/2016 ». Dans ce sillage, le chef de l’Etat a assuré que le « développement économique se poursuivra, de telle manière à porter le PIB à 400 milliards de dollars à échéance 2026/2027 ». Dans la foulée, le Président Tebboune, a annoncé des augmentations allant de 10 à 15 %, des pensions et allocations de retraite, qui seront approuvées lors de la prochaine réunion du Conseil des ministres. Le président de la République a réaffirmé, à cette occasion, l’attachement au caractère social de l’Etat découlant des principes de la Déclaration du 1er Novembre 1954. Lors de la dernière réunion du Conseil des ministres, le président de la République avait donné son aval pour la revalorisation des pensions et allocations de retraite au titre de l’exercice 2024 pour le régime des retraites pour salariés et non-salariés, toutes catégories confondues, au regard de « l’évolution du niveau de vie, en tenant compte des moyens financiers de l’Etat », insistant sur l’impératif de préserver la protection sociale de cette catégorie qui a beaucoup donné au pays ». Il avait également enjoint au Gouvernement de trouver de « nouveaux moyens de financement supplémentaires pour la Caisse nationale des retraites (CNR), afin que ces augmentations soient adaptées à l’évolution de l’économie nationale ». Interpellé sur le retour à une retraite sans condition d’âge, après 32 ans de cotisations, le chef de l’Etat a répondu que la question pourrait être débattue, en prenant en compte des paramètres économiques, assurant que « les revendications réalistes et réalisables seront satisfaites rapidement ». Dans ce cadre, le Président Tebboune a appelé à la mise en place des bases du dialogue et de la consultation avec l’UGTA et l’ensemble des citoyens libres. « Pour parvenir à des décisions pertinentes et non conjoncturelles, il est nécessaire d’instaurer le dialogue et la concertation avec l’Union générale des travailleurs algériens et avec tous les nationalistes libres et tous ceux qui nous ont précédé dans la lutte », a-t-il déclaré. Dans ce cadre, le chef de l’Etat a précisé qu’il partageait l’avis du Secrétaire général de l’UGTA, concernant le nouveau mécanisme proposé à savoir la tenue d’une tripartite, à condition qu’elle ne soit pas comme les précédentes tripartites dont les décisions sont restées lettre morte ». Notons qu’à l’issue de la cérémonie, le patron de la Centrale syndicale a honoré le Président Tebboune, au nom de l’ensemble des syndicalistes, lui attribuant le titre de « premier syndicaliste ».

Badis B.

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Ennahda participe «par conviction» Le secrétaire général du Mouvement Ennahda, Mohamed Douibi, a souligné, hier à Bordj Bou-Arreridj, que sa formation politique a décidé de participer à la prochaine échéance électorale «par conviction».

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  A l’ouverture d’une rencontre organisée par sa formation politique à la maison de la culture de Bordj Bou-Arreridj dans le cadre du renouvellement des structures du parti, Mohamed Douibi a souligné que le mouvement maintient toujours ses positions et estime qu’ «il n’y a pas d’alternative aux élections pour élire les dirigeants du pays». Dans le même contexte, il a rappelé que le Conseil national de la Choura du parti avait décidé, lors de sa session ordinaire tenue le 1er mars 2024, de participer aux prochaines élections électorales, ce qui consolidera davantage le rôle central de l’Algérie en tant qu’acteur régional et international.

 

Dans le même contexte, il a souligné que la forme de participation à ces élections sera décidée par le Conseil national de la Choura après une série de consultations organisées par le bureau national du parti avec les bases de la formation politique à travers les wilayas. Le mouvement Ennahda a pour rappel appelé, le 20 avril dernier, la classe politique et l’ensemble du peuple algérien à faire réussir la présidentielle du 7 septembre prochain, afin de préserver la souveraineté de l’Etat et la stabilité des institutions, et maintenir le développement durable. «En application de la décision du Président de la République d’organiser une Présidentielle anticipée et en concrétisation de la décision du Conseil consultatif portant participation du mouvement à cette échéance, le mouvement Ennahda annonce la mobilisation de ses cadres et militants pour une participation active à ce rendez-vous important et une implication des instances dirigeantes locales dans les consultations sur les meilleures formules de cette participation», avait précisé le mouvement dans un communiqué sanctionnant les travaux d’une réunion de son bureau national.

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