Se connecter avec nous

économie

Pétrole : Le Brent à 87,63 dollars

Publié

sur

Les cours du pétrole marquaient hier une petite pause, même si les prix restent soutenus par plusieurs crises géopolitiques faisant planer des risques sur l’offre venant du Moyen Orient et de Russie, dans un marché déjà tendu. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars perdait vers midi 0,26% à 87,63 dollars. A New York, le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison le même mois baissait de 0,36% à 84,78 dollars. Selon les analystes, le sentiment haussier a été soutenu par une série de facteurs dont des troubles au Moyen-Orient et un risque d’invasion de l’Ukraine par la Russie qui apparaît de plus en plus probable .Londres a annoncé hier le retrait de personnels de son ambassade à Kiev face à la « menace croissante» de la Russie, après des mesures similaires des Etats-Unis. L’alliance de l’Otan a également annoncé lundi avoir placé des forces en attente et envoyé des navires et des avions de combat pour renforcer leur défense en Europe de l’Est face aux activités militaires de la Russie aux frontières de l’Ukraine. La situation au Moyen-Orient reste également «incertaine», notent les spécialistes du marché. Les Houthis yéménites ont tiré lundi coup sur coup des missiles balistiques contre les Emirats arabes unis qui les ont interceptés et l’Arabie saoudite où deux personnes ont été blessées. Ces troubles font planer des risques conséquents sur l’offre de pétrole, la Russie comme les Emirats arabes unis étant des producteurs importants de l’Opep+. Certains experts estiment cependant que le risque représenté par la crise Russie-Ukraine n’a pas complètement été intégré aux prix de l’or noir. «Le mouvement des prix modéré de ce matin paraît bien peu dramatique par rapport au risque d’une invasion», jugent-il.

Continuer La Lecture
Cliquez pour commenter

Laisser une Réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

économie

Agriculture : Plan triennal pour atteindre 3 millions d’hectares de surfaces irriguées d’ici 2028

Publié

sur

Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Youcef Cherfa, a affirmé, mardi soir dans la wilaya d’El-Meniaa, qu’un plan triennal avait été élaboré en vue d’atteindre 3 millions d’hectares de surfaces irriguées d’ici 2028.

Dans une déclaration à la presse en marge d’une visite de travail et d’inspection dans la wilaya d’El-Meniaa, M. Cherfa a expliqué que «l’extension des surfaces irriguées, notamment au Sud du pays, est désormais un impératif en vue d’atteindre les objectifs fixés dans le secteur agricole», précisant qu’un «travail est en cours pour augmenter les capacités de production, à travers l’extension de ces surfaces ayant atteint 1,1 million d’hectares (250.000 hectares par an), en application de l’engagement du président de la République, Abdelmadjid Tebboune».

Ce plan triennal est entré en vigueur au cours de la saison agricole actuelle pour atteindre les objectifs fixés pour réaliser l’autosuffisance et contribuer à porter le produit brut intérieur (PIB) à 400 mds USD, a ajouté le ministre, notant que le secteur agricole a réalisé, au titre de la dernière saison, une production s’élevant à 15% du PIB.

«Les installations de stockage dont les travaux de réalisation ont été récemment lancés à travers le territoire national, témoignent, en effet, de la volonté de l’Etat de développer le secteur, notamment en matière de production des céréales et des semences. Ces projets renforceront les capacités de stockage, particulièrement dans les wilayas du Sud, qui ont enregistré une production importante dans les cultures stratégiques», a-t-il fait savoir.

Lors de sa visite, M. Cherfa a inspecté le projet de réalisation de deux (2) centres de proximité de stockage des céréales dans la commune d’El-Meniaa, où il a souligné la nécessité de respecter toutes les normes en vigueur pour la réalisation de ces centres, et de les réceptionner avant le début de la campagne de récolte au titre de la saison agricole en cours.

Le ministre a également a pris connaissance des résultats encourageants de la culture du tournesol dans une exploitation pilote apparentant à un investisseur privé, s’étendant sur une superficie de 50 hectares, où il a souligné la nécessité d’élargir les surfaces dédiées à cette filière, lors de la prochaine saison, dans le cadre de promotion du produit national issu de l’agriculture de transformation, tels que les cultures oléagineuses et sucrières, et les légumineuses.

R.E

Continuer La Lecture

économie

Pétrole : Le Brent en hauss

Publié

sur

Les cours du pétrole ont progressé, hier, aidés par des anticipations de nouvelles mesures de relance économique chinoise et le regain de tensions au Proche-Orient, à deux jours de la réunion de l’Opep+. Vers 10H00 GMT (11H00 à Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, prend 1,11% à 72,63 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en janvier, gagne 1,19%, à 68,91 dollars. De nouvelles mesures de relance « pourraient être dévoilées lors de la Conférence centrale sur le travail économique en Chine ce mercredi », explique Ole Hvalbye, analyste chez SEB.

Par ailleurs, « les tensions géopolitiques au Moyen-Orient continuent d’injecter une prime de risque dans les prix du pétrole », précise l’analyste.

La réunion jeudi de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep+), qui doit décider de sa politique de production dans les mois à venir, est également très attendue par le marché.

 

 

Continuer La Lecture

économie

Agriculture : Le groupe GOPA AFC revient en Algérie 

Publié

sur

Le Groupe GOPA Consulting, le plus grand groupe allemand de sociétés de conseil dans le domaine de la coopération au développement, marque son retour en Algérie par la participation d’une délégation d’experts au lancement du programmes « Dattes du CBI – Centre for the Promotion of Imports from developing countries (CBI).

Pendant une semaine, la délégation du Groupe Gopa a pu s’entretenir avec les principaux acteurs de la filière « phoenicicole » afin d’établir les bases d’une coopération qui s’étalera sur cinq ans. Durant cette période, un intérêt particulier sera porté à la certification et à l’exportation, notamment des dattes « BIO » et de multiples produits dérivés. Le groupe Gopa œuvrera à l’adaptation du secteur dattier aux effets des changements climatiques, qui se font ressentir depuis plusieurs année

s.

Continuer La Lecture
Annonce

Trending