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Société

Témoignages du détenu Benhalima : Des aveux exclusifs sur les traîtres et les félons tapis à l’étranger Rappelant avoir rejoint les rangs de l'ANP en tant que chauffeur, Benhalima a indiqué avoir pris contact en août 2019 avec le nommé Mohamed Abdellah...

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Le détenu Mohamed Azzouz Benhalima a livré des  aveux exclusifs sur les traîtres et les félons tapis à l’étranger, levant le voile sur leur implication dans des plans abjects ciblant la sécurité, l’unité et la stabilité de l’Algérie. Dans de nouveaux témoignages diffusés dimanche soir par la télévision  algérienne sous le titre «Chemin de la félonie….détails de la conspiration », le détenu Benhalima est revenu dans la première partie de ces aveux sur les traîtres et les félons tapis à l’étranger afin de montrer au peuple algérien leur véritable nature et les moyens qu’ils utilisent dans l’exploitation des jeunes algériens dans des plans ciblant l’Etat algérien et l’Armée nationale populaire (ANP) en particulier. Rappelant avoir rejoint les rangs de l’ANP en tant que chauffeur, Benhalima a indiqué avoir pris contact en août 2019 avec le nommé Mohamed Abdellah à qui il a fait part de son désir d’émigration, ajoutant s’être senti à l’aise puisque ce dernier était un ancien militaire. Mohamed Abdellah contactait systématiquement Larbi Zitout (responsable du mouvement terroriste Rachad) pour le tenir informé des détails des discussions, a-t-il ajouté, relevant que l’objectif de Larbi Zitout consistait à recruter des militaires actifs au sein des différentes unités de l’ANP pour lui servir de sources d’informations et les exploiter par la suite dans ses plans. Le détenu Benhalima a précisé avoir quitté l’Algérie en septembre 2019 à destination d’Alicante (Espagne) où il a contacté Mohamed Abdellah qui était son intermédiaire avec Larbi Zitout. Ce dernier lui a fourni des aides financières pour lui faire du chantage, à travers ses frères Miloud et Ismail ainsi que le nommé Moussa Zerrari résidant à Lyon (France). Il a également évoqué son premier contact avec le nommé «Amir Dz» qui a pris attache avec lui pour lui demander son numéro de téléphone. En octobre 2019, le détenu Benhalima a dit avoir été admis dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile à Tolosa (Espagne) où il a commencé à diffuser des vidéos d’incitation suite à des orientations données par Ismail Zitout. A cette période, il a été contacté par Larbi Zitout pour lui demander de lancer une chaîne Youtube, selon les aveux de Benhalima qui a relevé qu’Ismail Zitout était le responsable médiatique de son frère Larbi. D’après ces aveux, Larbi Zitout est la tête pensante du mouvement terroriste Rachad qui compte également Abbas Aroua, Mourad Dehina, Rachid Mesli, Nazim Taleb et deux autres binationaux. Le détenu Benhalima a indiqué avoir subi des pressions de la part de Larbi Zitout pour le forcer à rester en Espagne et l’exploiter dans ses plans de propagande visant l’Algérie.

APS

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Société

Hadj /ONPO : La réservation des billets lancée L'opération de réservation des billets pour les hadjis voyageant avec l'Office national du pèlerinage et de la omra (ONPO) vers les lieux saints, débutera lundi via le portail algérien du hadj Bawabet El Hadj Dz et l'application Rakb El Hadjidj, a indiqué un communiqué de l'Office.

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  «En parachèvement de l’opération de réservation des billets pour les hadjis voyageant avec l’ONPO vers les lieux saints via le portail algérien du Hadj Bawabet El Hadj Dz et l’application Rakb El Hadjidj, l’opération de réservation des billets débutera ce lundi, 15 avril, au niveau des aéroports d’Oran, Constantine, Laghouat, Bechar et Adrar (Timimoun) à 21h 00et à 21h30 pour l’aéroport d’Alger», précise la même source. Pour rappel, l’ONPO avait fixé la date du 15 avril comme dernier délai pour parachever les formalités administratives et sanitaires et payer les frais du hadj.

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Pour préparer le voyage de son fils : La mère de Mbappé en Algérie Après avoir visité la Casbah d’Alger, la mère de Kylian Mbappé, Fayza Lamari, s’est rendu chez sa ville natale à Amizour, dans la wilaya de Bejaïa.

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   Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle a eu droit à un accueil chaleureux dans la ville natale de ses parents. Fayza Lamari est en visite en Algérie depuis quelques jours. Apparemment, elle prépare d’ores et déjà la venue de son fils, la star du football français Kylian Mbappé, pour visiter le pays de ses ascendants maternels, prévue l’été prochain. Le moins que l’on puisse dire, est que la mère de Mbappé a été accueillie comme une super star là où elle est passée. Aussi, sa présence a suscité une grande médiatisation. Après avoir fait le buzz lors de sa visite à la Casbah d’Alger, elle a eu droit à un accueil chaleureux à Amizour, ville natale de ses parents, dans la wilaya de Bejaïa. Les Algériens, les Béjaouis en particulier, ont découvert à quel point Fayza Lamari est attachée de ses origines, avec notamment sa bonne maitrise de la langue kabyle. Après avoir posé avec le maillot du MO Bejaia, elle dira : «C’est le début de quelque chose avec Thizi, puis Bejaïa. J’espère que c’est le début d’une longue histoire et qu’on va écrire pleines de choses ensembles». Certes, Fayza Lamari s’est contentée d’une petite déclaration lors de sa visite à Bejaïa. Mais selon des indiscrétions, elle va financer quelques projets sportifs et culturels. En effet, on cite, entre autres, de deux stades de football dans deux villages, sis à la commune de Feraoun, ville natale de ses parents. L’un à Tifertine Thagma et un autre à Thizi. Il s’agit aussi d’une maison d’artisanat, destinée aux femmes au foyer. L’international français est attendu à Bejaïa, en juillet prochain.

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Ouverture de KFC Algérie : Sous le signe du boycott C’était l’effervescence à Dely Brahim ! Une queue s’allongeait, impatiente de découvrir le premier restaurant KFC en Algérie, une enseigne qui suscite autant d’engouement que de controverse.

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   Si l’ouverture de KFC était attendue par de nombreux Algériens amateurs de poulet frit, elle a également donné lieu à des manifestations et à des appels au boycott sur les réseaux sociaux. Dès les premières heures d’ouverture, des manifestants portant des drapeaux palestiniens et criant des slogans de soutien à la Palestine, se sont rassemblés devant le restaurant, brandissant des pancartes «Boycott KFC». Le hashtag #BoycottKFC a rapidement grimpé en tête des tendances, relayant les messages de colère et de déception des internautes algériens sur les différentes plateformes. Le restaurant KFC, qui s’est retrouvé face à un dilemme (comment concilier son implantation sur un marché aussi sensible que l’Algérie avec ses valeurs et ses intérêts économiques ?), a réagi aux manifestations en affirmant qu’il ne soutient pas Israël, via une story publiée sur son compte Instagram. Cette déclaration n’a pas apaisé la colère des manifestants qui continuent à appeler au boycott de l’enseigne. Certains internautes ont également critiqué la déclaration de KFC, la qualifiant de «manœuvre dilatoire» et d’insuffisance. Un élément qui alimente cette critique est l’abonnement du compte officiel du restaurant KFC Algérie au compte KFC Israël sur les réseaux sociaux. Cette décision est perçue par certains comme un signe de soutien indirect à Israël, ce qui contredit la déclaration du restaurant. KFC n’est pas la première enseigne internationale à être visée par un boycott en Algérie. En effet, le mouvement de boycott mondial contre Israël a également trouvé un écho significatif dans le pays. Les Algériens se sont mobilisés en masse, ajoutant leur voix à celles des citoyens du monde entier pour dénoncer l’occupation et les violations des droits humains commises par Israël. Parmi les actions concrètes entreprises, on compte le boycott de grandes marques internationales ayant des liens commerciaux avec Israël, telles que Coca-Cola et Nestlé. Ce boycott symbolise l’engagement du peuple algérien en faveur de la justice et de la solidarité avec le peuple palestinien, renforçant ainsi le mouvement mondial de désinvestissement économique visant à faire pression sur Israël pour qu’il respecte le droit international et mette fin à l’occupation. Il reste à voir si KFC parviendra à s’imposer sur le marché algérien, dans un contexte marqué par ce fort mouvement de boycott. L’enseigne devra sans doute redoubler d’efforts pour gagner la confiance des consommateurs algériens. En conclusion, l’ouverture du premier restaurant KFC en Algérie est un événement mitigé. Si l’enseigne suscite un certain engouement chez les amateurs de poulet frit, elle est également confrontée à un large mouvement de boycott qui pourrait menacer son avenir sur le marché algérien.

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