Il est à rappeler que ce dernier est détenu pour un autre motif. Nekkaz fait face à des accusations d’incitation à un rassemblement non armé, d’avoir tenté d’empêcher les citoyens d’exercer leur droit de vote. Ce sont ces faits pour lesquels le tribunal correctionnel de première instance de Dar El Beida l’avait précédemment condamné à un an de prison et 30 000 DA d’amende. Nekkaz avait déjà été libéré le 19 février 2021 après la grâce présidentielle accordée par le président Tebboune, à la suite d’une précédente condamnation.