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Accueil EDITO

La prise de la Bastille… du Makhzen

admin admin
19 juillet 2022, 19:46
in EDITO
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Par S. Méhalla

Il va de soi, que la guerre que mène notre voisin de l’ouest contre notre pays fait depuis longtemps rage. Froide. Sur la toile, ce voisin damné a tant investi, et tellement que les écrits et les capsules vidéos se propagent à une telle vitesse insupportant les nationalistes algériens. Des centaines de posts apposent avec des hypothèses mensongères arrachant une action psychologique sans précédent sur toute action algérienne. Une pensée de Spinoza me taquine en tentant cette trame que je souhaite réservée. «Ne pas s’indigner mais comprendre», professa Spinoza. Nous nous indignons trop. Nous l’avons, cette envie de s’indigner de nous mêmes et des autres. Sans chercher à comprendre. Comprendre pourquoi nous nous laissons aller. Laissons faire. Nos voisins, maudits, aimeraient-ils leur pays mieux que nous tentons de le faire, nous vis à vis du nôtre? Le défendent-t-ils au mieux que nous le faisons? Sommes-nous des incapables? Ou sommes-nous sous le poids de la «colonisabilité», mentale, comme aurait dit Bennabi?

Non !

Parce qu’il faut juste se rappeler que chaque parcelle de ce pays est «avinée» du sang de nos valeureux chouhada. Le souci est de comprendre pourquoi notre pays a abandonné ses intellectuels et ses journalistes. Bouteflika, en l’espace de 20 ans de règne, a méprisé toute la corporation et n’a, à aucun moment, daigné s’adresser à son peuple via la presse algérienne. C’est quoi la définition du mépris si ce n’est celle-là? C’est M. Tebboune qui a, l’Histoire le reconnaitra, ouvert le champ du respect avec la corporation. Sauf que la sélection des invités se fait selon le gré de ce qui se passe derrière les murs. Ce qui ne fait pas totalement disparaître ce ressentiment de mépris en l’absence de l’équité dans le tri des hôtes. L’histoire nous narrera certainement un jour cet épisode avec plus de détails.

Laissons le ton au temps!

Mais pourquoi, dans l’absolu, l’État n’a pas «enrégimenté» dans ses réflexions, si je puis m’exprimer ainsi, comme dirait Fernandel, les plumes du pays. Les Etats-Unis, la France, les Anglais, les Russes, les Chinois… et aujourd’hui l’ignoble Makhzen ne le font-ils pas? Pourquoi l’Algérie n’use-t-elle pas de ses relais intellectuels ? D’ici et d’ailleurs. Surtout d’ailleurs. Ces intellectuels enfouis dans les «beaux» rivages. Ses beaux orateurs hypnotisant la foule à la cause nationale, et, enfin, ses belles d’écrans pour contrer, gagner ou à minima, prendre les devants, s’éclore à l’action non se calfeutrer derrière toute sorte de réaction, notamment diplomatique, nécessaire en appui. Car, même le bambin algérien est conscient que la Bastille du Makhzen peut être prise sans gaspiller la moindre balle. Pour la simple raison qu’il s’agirait de la mener contre un voisin trop lâche pour y faire face à une vraie confrontation, et n’ayant jamais eu le moindre honneur, la moindre souveraineté y compris sur sa propre royauté. Le Maroc a été et est colonisé par les pédophiles et les homosexuels européens, français notamment. Et aujourd’hui par les sionistes. Quant à ce Sahara occidental, qu’il revendique juste pour s’occuper de quelque chose dans sa vie, est à des millions d’années lumières loin de ses rêves, de sa portée diplomatique, militaire et même dans la structure ethnique de la région. Le casus belli sahraoui a suffi, à lui seul, que le M6 baissa le froc en ouvrant ses châteaux aux sionistes. Que dire donc du modus operandi de l’ANP si jamais elle venait à s’y mêler militairement.

Le traitre Hicham Aboud et ses acolytes harkis mettent en avant les mises en garde de ce qu’ils appellent les puissances du monde.

Mais de quoi parle-t-il, l’apprenti-danseur? N’a-t-il jamais entendu les discours officiels de la nation algérienne jalouse de sa souveraineté? N’a-t-il jamais entendu les poings des Présidents algériens boxer les gueules et les tables des négociations lorsque notre souveraineté est taquinée, de Ferhat Abbas à Tebboune. Quelle loque humaine ce Aboud Hicham!

L’Algérie n’est pas la Syrie, avec tous les respects à nos frères syriens, pour nous suffire de l’avis des puissances mondiales et nous entrainer dans des bourbiers. La puissance dont l’Algérie dispose n’est pas le champignon nucléaire d’Hiroshima, ni les armes qui ont défilé le 5 juillet. Bien évidemment que l’Hiroshima dont dispose l’Algérie est son citoyen prêt à le bouffer, lui et les marocains qui l’alimentent, crus si l’occasion leur est offerte.

Nous avons, en l’espace de quelques heures, mesuré l’ire, mobilisatrice, des Algériens concernant les actes terroristes commis contre les civils algériens. Le monde entier est conscient que l’Algérien n’a depuis sa lointaine origine connu que la fièvre Sun Tzu et le génie de son art avec lequel il partage ce constat : la guerre est d’un principe vital pour l’État. Fort probable que, pour l’Algérien, l’adjectif vital est remplacé par nif. Le nif, un principe hors du radar conceptuel.

Le Maroc, je le nomme pour cette fois-ci, aurait tout intérêt à ne pas trop chercher les Algériens. Quant aux choudjaâne de l’ANP, la mission sera la réécriture de l’Iliade et l’Odyssée. Les poireaux -si j’ose emprunter le jargon militaire de Saint-Cyr- du Makhzen, en sont bien conscients pour ne pas se laisser prendre dans leur riads sur des aubades sionistes voulant enflammer la région.

Toutefois, une guerre n’est pas un jeu d’enfants comme l’a dit Boumediene. Une guerre est avant tout la confirmation de la solvabilité de l’hypothèse des agresseurs, son origine. Une guerre c’est justement tomber dans le piège de la provocation de délit. La guerre est l’affaire de courageux planificateurs qui connaissent les règles, maîtrisent les usages pour porter des opérations courtes et précises pour éviter le chaos non pas une affaire d’une propagande d’un débileimpuissant. Le conflit russo-ukrainien le démontre. Encore loin une affaire d’une quelconque puissance mondiale. Pour la simple raison que l’Algérie sait où se termine ses droits et où commence son devoir lorsque les limites sont franchies.

S. M.

 

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