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Brest : Belaili trainé dans la boue ! Prolongé jusqu'en juin prochain, Youcef Belaili (30 ans, 6 matchs en L1 cette saison) est trainé dans la boue à Brest.

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S’il n’est pas encore question d’une résiliation de contrat, l’attaquant algérien a agacé du monde en Bretagne. Notamment le propriétaire de sa maison de location entre février et juin. « Tous les matelas ont dû être changés, la cuisine à refaire. Comme la maison était chauffée à 28 degrés en permanence, les sols ont gondolé sous l’effet de l’humidité. Sans parler des mégots dans la baignoire, des portes de placards arrachées, des casseroles brûlantes posées à même le plan de travail… Un véritable carnage », a expliqué un témoin pour Le Télégramme. Des dégradations qui ont nécessité 50 000 euros de réparations au frais du club. Virée parisienne après le match au Parc des Princes, absence pour les photos officielles, envoi d’un cousin pour effectuer la batterie de tests de pré-saison… Le Fennec a multiplié les écarts de conduite ces dernières semaines et l’on parle déjà de la résiliation de son contrat, bien que le Stade Brestois 29 a fait savoir qu’il n’a reçu aucune demande formelle de résiliation de contrat de la part de l’ailier international algérien, attendu hier à Brest. Le club brestois compte logiquement faire valoir ses droits, mais le divorce entre les deux parties semble de plus en plus proche. S’il se confirme, ce dénouement ne sera clairement pas du goût du sélectionneur national Djamel Belmadi, qui exhorte son protégé à s’accrocher. « J’espère que l’information sur Belaili est fausse. Belaili doit retourner dans son club, il doit travailler et patienter. C’est ça le professionnalisme. A la fin du match, j’ai dit à mes joueurs de retourner dans leur club, de travailler dur. Il faut faire ces efforts », a déclaré Belmadi mardi soir à Oran.

  1. S.
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Arabie saoudite : Mourinho ne dit pas non… Libre depuis son licenciement de l'AS Roma en janvier dernier, l'entraîneur José Mourinho a été régulièrement annoncé dans le viseur des clubs saoudiens.

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Et sans surprise, le technicien portugais n’écarte pas l’idée de prendre la direction de l’Arabie saoudite à l’avenir. «Je crois que Cristiano Ronaldo a ouvert la porte, car les gens croient désormais que c’est possible d’être en Arabie saoudite, de vivre là-bas, de prendre du plaisir là-bas, d’apprécier le développement d’un pays qui veut devenir différent avec le football grâce à une passion qui se développe. Quand j’ai eu une proposition (d’Al-Hilal alors qu’il était à la Roma, ndlr), elle était bien évidemment importante économiquement, j’ai refusé car la Roma, le football européen, mes objectifs et mon engagement étaient plus importants pour moi. Si on me demande pour le futur, vous savez, avec mon expérience, il ne faut jamais dire jamais », a répondu le Special One pour Fabrizio Romano.

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Equipe de France : Passes décisives, Mbappé rejoint Henry L'attaquant Kylian Mbappé (25 ans, 77 sélections et 46 buts) n'en finit plus de grimper dans l'histoire de l'équipe de France.

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   Déjà troisième au rang des meilleurs buteurs avec un retard de 11 réalisations sur Olivier Giroud (57 buts), le joueur du Paris Saint-Germain est devenu ce mardi, en offrant l’égalisation à Youssouf Fofana face au Chili (3-2) en amical, le deuxième meilleur passeur des Bleus à égalité avec Thierry Henry (27 caviars). A l’avenir, Mbappé a de grandes chances de rattraper le recordman tricolore : Antoine Griezmann (30 passes décisives).

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L’Espagne et le Brésil se neutralisent : Du spectacle au Santiago-Bernabéu Il n’y a eu d’amical que le nom. L’Espagne et le Brésil se sont quittés sur un match nul (3-3) mardi soir au stade Santiago-Bernabéu.

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   Mais les deux sélections ont livré un spectacle d’une grosse intensité avec trois penalties, tous transformés au final. Des armadas de sortie, quelques bijoux mais aussi des cartons… Il y a eu du jeu devant un public espagnol qui doit se contenter que d’un nul et d’une défaite sur la fenêtre internationale…A trois mois de l’Euro.

Il n’y avait plus eu de rencontre entre l’Espagne et le Brésil depuis 2013. Avec le spectacle proposé, on regrette que cette confrontation soit aussi rare. Surtout que le duel était truffé de petites histoires : le brassard de capitaine du Brésil pour Vinicius Jr, qui n’avait pu retenir ses larmes la veille en s’exprimant sur la lutte anti-racisme, le doublé d’un Rodri qui sortait d’un drame familial ou encore le deuxième but en deux matches avec la Selecao pour le jeune Endrick (17 ans), le tout dans son futur stade… Bref, il y avait de quoi vibrer. Lui ne finira pas sur la feuille de stats et pourtant, Lamine Yamal restera le joueur de ce match. Petits ponts, roulettes, virgules… À 16 ans, la pépite barcelonaise a donné le tournis à la défense brésilienne et à Lucas Beraldo, qui devra se méfier lors du quart de Ligue des champions entre le PSG et le Barça. C’est Yamal qui a provoqué le premier penalty, transformé par Rodri (12e) pour concrétiser une nette domination espagnole en début de match. C’est également lui qui a été à l’initiative du deuxième penalty, concédé par Beraldo sur Dani Carvajal, et encore transformé par Rodri (87e). Auteurs d’une première période presque parfaite avec des ailiers en feu, les Espagnols auraient pu virer à 2-0 à la pause. Dani Olmo avait réalisé un enchaînement splendide petit pont-double contact « à la brésilienne » pour envoyer valser deux défenseurs, avant de conclure du pied gauche. Mais une erreur de relance d’Unai Simon, puni par un lob de Rodrygo, a laissé un espoir à des Brésiliens dépassés dans l’entrejeu en première période, en panne de créativité et de ballons.

Mieux revenus (quadruple changement à la pause), les hommes de Dorival Junior ont égalisé grâce à un corner revenu dans les pieds d’un Endrick tueur (50e). Ils ont également trouvé les ressources pour provoquer un penalty sur Carvajal, transformé par Lucas Paqueta (90e+6) et priver l’Espagne d’un succès dans un Bernabéu qui s’est régalé. En espérant attendre moins de onze ans pour retrouver ce choc.

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