«L’Algérie n’avait pas accueilli un tournoi de cette ampleur depuis un certain temps. En regardant l’excellent travail réalisé avec les installations et les infrastructures, les transports et d’autres aspects, ils ont donné une belle image du pays”, a déclaré Haggui, au site de la Confédération africaine de football (CAF), en marge d’un des matchs qu’il a suivi au stade Nelson Mandela à Baraki (Alger).
Karim Haggui (39 ans) a également fait l’éloge des entraîneurs africains qui excellent lors du tournoi. Au total, 15 des 18 équipes étaient dirigées par un entraîneur africain. «Les équipes africaines donnent l’opportunité aux entraîneurs locaux, et nous voyons des résultats positifs en général», a-t-il noté, avant d’ajouter que «le niveau de la 7e édition en Algérie est excellent. J’ai bien observé l’Algérie, on sent qu’elle est galvanisée par l’appui de son public». Le seul regret de Haggui est l’absence de son pays natal, la Tunisie :
«J’aurai aimé que la Tunisie soit là, mais malheureusement, cela ne s’est pas produit, en attendant, peut-être de la voire lors des prochaines éditions.»