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Asphyxie au monoxyde de carbone : 54 morts en janvier Cinquante-quatre (54) personnes sont mortes asphyxiées au monoxyde de carbone en janvier à travers le territoire national, a indiqué lundi le sous-directeur des statistiques et de l'information à la Direction générale de la Protection civile, le colonel Farouk Achour

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Invité du «Forum de la Radio» de la Chaîne I, le colonel Achour a précisé que les services de la Protection civile «ont enregistré 54 décès par asphyxie au monoxyde de carbone en janvier», faisant état d’une hausse significative du nombre de morts par rapport à la même période de 2022 (33 décès). Les services de la Protection civile ont sauvé 714 personnes d’une mort certaine qui aurait pu être causée par les émanations de monoxyde de carbone, a-t-il ajouté, faisant état de l’intensification des efforts de sensibilisation et de prévention. L’absence d’aération et le non-respect des règles basiques de sécurité sont à l’origine de ces accidents, a précisé l’intervenant. De son côté, le porte-parole de Sonelgaz, Khalil Hedna, a rappelé «le lancement d’un appel d’offres national et international pour l’acquisition de 22 millions de détecteurs de monoxyde de carbone», pour leur distribution gratuite. Conformément aux instructions données par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, lors de la dernière réunion du Conseil des ministres, «toutes les mesures ont été prises pour lancer un appel d’offres national et international pour l’acquisition de 22 millions de détecteurs de monoxyde de carbone». Les détecteurs seront aux normes internationales de qualité, a-t-il assuré, évoquant «la création de 6 laboratoires nationaux de vérification des installations et des équipements de chauffage».

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Séminaire sur la paix et la sécurité en Afrique : Le message du président de la République

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L’ouverture, ce mercredi des travaux de la 11e édition du Séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique, qui se tient cette année à Oran, est marquée par le message du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui a chaleureusement accueilli les participants, soulignant l’importance de cet événement pour le continent africain.

«De la terre de l’Algérie, qui a toujours accueilli les enjeux du continent africain, je vous adresse mes salutations les plus sincères. Je vous accueille comme un frère accueille ses frères, un hôte qui a l’honneur de vous recevoir dans votre second pays, dans la magnifique ville d’Oran, que vous avez choisie comme capitale permanente de ce séminaire», a déclaré le président de la République dans un message lu par le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf.

L’Afrique, unie et déterminée, est plus que jamais prête à jouer un rôle essentiel dans les affaires mondiales

Le président de la République a également insisté sur la dimension symbolique de cette rencontre, qui dépasse le simple cadre d’une réunion.

Selon le président de la République, cet événement porte un message de «l’unité et de l’engagement» du continent africain.

«Ce séminaire est une démonstration de la volonté de l’Afrique de s’unir et de faire entendre une seule voix forte sur la scène internationale», a ajouté le président de la République, tout en soulignant que « l’Afrique, unie et déterminée, est plus que jamais prête à jouer un rôle essentiel dans les affaires mondiales ».

L’Afrique ne peut plus accepter d’être reléguée au second plan dans les priorités internationales

Le président de la République a également évoqué la situation mondiale actuelle, marquée par des tensions croissantes et des transformations profondes qui menacent la stabilité et la sécurité internationales.

«Le monde traverse une période de tensions accrues, avec des politiques de division entre grandes puissances qui mettent en péril la paix et la sécurité mondiales», a-t-il noté, mettant en lumière l’impact de ces politiques sur le continent africain et en soulignant que l’Afrique ne peut plus accepter d’être reléguée au second plan dans les priorités internationales.

«Pour nous, la Palestine meurtrie est le meilleur témoin du mépris pour la légitimité internationale et la meilleure preuve de l’ampleur du fossé entre les principes proclamés et leur mise en pratique réelle.»

L’Algérie s’engage à poursuivre ses efforts aux côtés des Républiques de la Sierra Leone et de Somalie

Il a également ajouté : « l’expérience a prouvé que le mécanisme mis en place par ce séminaire pour renforcer la coordination efficace entre le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine et les trois membres africains du Conseil de sécurité de l’ONU est la meilleure voie pour garantir que les positions communes de l’Afrique se reflètent dans les résolutions des Nations Unies concernant la paix et la sécurité. Pour sa part, l’Algérie, en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, a consacré la première année de son mandat, en coordination avec le Mozambique et la Sierra Leone, à représenter au mieux le continent au sein de ce corps central de l’ONU, ne ménageant aucun effort pour renforcer l’influence de notre continent sur le processus de prise de décision, en particulier celles qui le concernent directement, en s’appuyant sur ses positions communes, fondées sur les principes, valeurs et idéaux consacrés par le Pacte constitutif de l’Union africaine. L’Algérie s’engage à poursuivre ses efforts à cet égard pendant la deuxième année de son mandat, aux côtés de ses frères des Républiques de la Sierra Leone et de Somalie. »

Un autre point essentiel de son discours a porté sur le rôle que l’Afrique doit jouer dans la prise de décision internationale, notamment au sein des Nations Unies.

«Nous devons faire en sorte que la voix de l’Afrique soit prise en compte dans les décisions de l’ONU, surtout celles relatives à la paix et à la sécurité», a-t-il insisté.

Défendre les intérêts du continent sur la scène internationale

Dans ce cadre, il a rappelé l’engagement de l’Algérie, en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, à œuvrer avec ses partenaires africains pour défendre les intérêts du continent sur la scène internationale.

Le président de la République a également salué les thèmes choisis pour cette 11e édition, qui abordent des enjeux cruciaux pour l’Afrique, tels que la lutte contre le terrorisme, le financement des opérations de maintien de la paix, et la réforme du système de représentation de l’Afrique au sein du Conseil de sécurité de l’ONU.

Enfin, le président de la République a réaffirmé l’engagement de l’Algérie à soutenir tous les efforts visant à renforcer l’unité et la solidarité africaines. «L’Algérie continuera à être un pont qui unit et soutient, une voix qui défend les aspirations des nations africaines sous le toit de notre organisation continentale», a-t-il conclu.

R.N

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Education: Saâdaoui rencontre les responsables des organisations des parents d’élèves

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Le ministre de l’Education nationale, Mohamed Seghir Saâdaoui, a rencontré, samedi à Alger au siège du ministère, les présidents des organisations nationales agréées des parents d’élèves, à l’occasion de sa nouvelle mission à la tête du secteur.

Il s’agit de la présidente de la Fédération nationale des parents d’élèves, Djamila Khiar, du président de l’Association nationale des parents d’élèves, Ahmed Khaled, et du président de l’Union nationale des parents d’élèves, Hamid Saadi.

Dans une déclaration à la presse, le ministre a affirmé que les associations des parents d’élèves sont considérées comme un «allié» pour le ministère afin d’écouter leurs préoccupations se rapportant aux élèves et à toutes les questions les concernant».

A cette occasion, M. Saâdaoui a appelé les directeurs des wilayas de l’éducation à «ouvrir les portes» aux organisations syndicales des travailleurs de l’éducation et aux associations agréées des parents d’élèves, afin d’écouter leurs préoccupations, rappelant les instructions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, concernant l’«impérative coordination efficace avec les organisations des parents d’élèves».

De leurs côtés, les présidents de ces organisations ont exprimé leur satisfaction quant au déroulement de cette rencontre, durant laquelle une feuille de route a été mise en place pour la coordination et l’action commune au mieux de l’intérêt des élèves, notamment en cette «étape charnière» des examens du 1er trimestre de l’année scolaire 2024-2025.

Plutôt dans la journée, le ministre de l’Education nationale avait rencontré les responsables d’organisations syndicales agréées auprès du secteur, soulignant que «le développement du secteur et la réalisation des objectifs escomptés impliquent d’adopter le dialogue et l’action participative, afin de remédier aux insuffisances».

R.N

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Industrie: Ghrieb entame des rencontres d’évaluation avec les responsables des groupes publics

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Le ministre de l’Industrie, Sifi Ghrieb, a entamé, samedi, une série de rencontres avec les responsables des groupes industriels publics en vue d’évaluer leurs performances, celles de leurs filiales et entreprises affiliées, afin de garantir leur efficacité et de remédier aux dysfonctionnements et obstacles qu’ils rencontrent, selon un communiqué du ministère.

A cet effet, M. Ghrieb a tenu des réunions de travail au siège du ministère avec les responsables du Groupe des industries locales (Divindus), du Groupe des industries électroniques, électroménagères et électriques (Elec El Djazair), de la Société nationale de sidérurgie (SNS), ainsi que du Groupe Algerian Chemical Specialties (ACS) et leurs filiales respectives.

A cette occasion, le ministre a élaboré une feuille de route et donné des «instructions concrètes visant à améliorer les performances, l’efficacité et les résultats de ces groupes industriels et de leurs filiales, conformément aux orientations du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour dynamiser le secteur industriel», précise le communiqué.

Ces directives concernent principalement les «plans d’action des groupes, les stratégies de relance, leur situation financière et économique, l’adoption de politiques de marketing dynamiques sur les marchés extérieurs, notamment africains, ainsi que le renforcement du rôle des centres de formation du secteur et leur implication accrue dans la réalisation des objectifs fixés».

Le ministre a également insisté sur «la nécessité de trouver des solutions urgentes aux entraves et aux difficultés rencontrées par certaines entreprises relevant du portefeuille du secteur».

Parmi les mécanismes évoqués pour surmonter ces défis, M. Ghrieb a souligné l’importance de créer un cadre de coopération et de coordination entre les groupes industriels et les autres secteurs économiques, ajoute le ministère.

Par ailleurs, le ministre a mis en avant «l’importance d’élaborer un guide stratégique national pour l’industrie, portant sur les intrants, les extrants, les compétences nationales dans les métiers de l’industrie, les déchets industriels et les parcs de technologie industrielle, afin de servir de référence pour la prise de décisions au niveau des groupes publics, le développement de l’ingénierie inverse dans le domaine industriel, l’orientation des investisseurs et des startups, ainsi que pour les différents centres de recherche».

La conformité a également figurée parmi les priorités abordées par M. Ghrieb dans ses orientations, en raison de son rôle crucial dans l’assurance de la qualité des produits, facilitant ainsi leur exportation et leur accès aux marchés internationaux, indique le communiqué.

A l’issue de ces réunions, il a été décidé «d’adopter une série de mesures et de procédures pour une prise en charge urgente des situations et des contraintes.

R.E

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