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Corée du Nord : Un nouveau missile tiré La Corée du Nord a procédé hier, à un nouveau tir de missile balistique, a annoncé à Séoul l'état-major interarmées qui mène en ce moment des exercices conjoints de grande ampleur avec les États-Unis

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La Corée du Nord a tiré un missile balistique non identifié en direction de la mer de l’Est, a déclaré l’état-major interarmées dans un communiqué, en référence à l’étendue également connue sous le nom de mer du Japon. Washington et Séoul ont débuté lundi leurs plus importantes manœuvres militaires conjointes en cinq ans, malgré les menaces de la Corée du Nord, qui a annoncé quelques heures plus tôt avoir tiré deux missiles de croisière depuis un sous-marin. Pyongyang avait affirmé lundi dernier,  que ce lancement visait à vérifier ses «moyens de dissuasion nucléaire dans différents espaces», tout en critiquant les exercices baptisés Freedom Shield prévus pour durer au moins dix jours afin de lutter contre les menaces croissantes de Pyongyang. Ce type de manœuvres suscite l’ire de la Corée du Nord qui les considère comme des répétitions générales à une invasion de son territoire, et met en garde régulièrement contre une action «écrasante» en réponse à ceux-ci. L’armée sud-coréenne a indiqué que ces exercices vont «impliquer des procédures de temps de guerre pour repousser de potentielles attaques nord-coréennes et mener une campagne de stabilisation dans le Nord»..Vendredi, l’agence de presse nord-coréenne KCNA a rapporté que le leader Kim Jong Un avait ordonné à son armée d’intensifier ses manœuvres militaires en vue d’une «guerre réelle». Washington a réaffirmé à plusieurs reprises son engagement «sans faille» à défendre la Corée du Sud en utilisant «toute la gamme de ses capacités militaires, y compris nucléaires».

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Birmanie : Escalade à Myawaddy L'Association des nations d'Asie du Sud-Est (Asean) a exprimé sa «profonde» inquiétude face à l'intensification du conflit civil en Birmanie, qui a culminé récemment avec la prise d'une ville stratégique à la frontière thaïlandaise par des combattants anti-junte.

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   «Nous, les États-membres de l’Asean, sommes profondément inquiets par la récente escalade des conflits, notamment dans la région de Myawaddy», ont écrit les ministres des Affaires étrangères du bloc de dix pays, dans un communiqué conjoint daté du jeudi 18 avril. «Nous demandons de manière urgente à toutes les parties de cesser immédiatement la violence et de faire preuve de la plus grande retenue, de respecter le droit humanitaire international et de prendre toutes les mesures nécessaires pour désamorcer les tensions et assurer la protection et la sécurité de tous les civils», ont-ils insisté. La Birmanie est enlisée dans un violent conflit civil depuis le coup d’État de 2021 contre Aung San Suu Kyi, sans qu’une issue pacifique ne se dessine, malgré les appels répétés de l’Asean, dont elle fait partie et qui a présenté un plan de sortie de crise il y a trois ans.

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Mali : Dissolution de l’Appel du 20 février L'opposant Ismaël Sacko, président du Parti social-démocrate africain (PSDA) et membre de la Coordination des organisations de l'Appel du 20 février 2023 pour sauver le Mali, réagit à la dissolution par les autorités de transition de cette plateforme qui réclame l’organisation d’élections et un retour à l'ordre constitutionnel dans ce pays.

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  «Nous n’avons pas été surpris par cette énième dissolution, parce que la junte, illégale, illégitime, dirigée par le colonel Assimi Goïta, dont le mandat a pris fin le 26 mars 2024, est incapable de s’atteler aux priorités des Maliens», juge le patron du PSDA. Réuni en conseil des ministres, le gouvernement malien a prononcé le 17 avril 2024 la dissolution de la Coordination des organisations de l’Appel du 20 février 2023 pour sauver le Mali, une plateforme fortement opposée aux autorités de transition. Le ministère de l’Administration territoriale, qui porte cette décision, considère que cette structure s’illustre de façon permanente avec « des agissements ostentatoires de nature à troubler l’ordre public et qui portent atteinte à la souveraineté de l’État et à l’unité nationale ». L’Appel du 20 février réclame, depuis sa mise en place, l’organisation d’élections et un retour à un ordre constitutionnel normal.

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Burkina Faso : Trois diplomates français expulsés  «La décision des autorités burkinabées ne repose sur aucun fondement légitime». C’est la réponse sans détour apportée ce jeudi 18 avril par la diplomatie française après la décision de Ouagadougou de déclarer « persona non grata» trois diplomates français.

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Les tensions sont de plus en plus visibles entre la France et le Burkina Faso, comme en atteste cette nouvelle décision qui concerne trois diplomates, dont deux conseillers politiques à l’ambassade de France à Ouagadougou. La décision, prise par le ministère burkinabé des Affaires étrangères dans une note adressée à l’ambassade de France mardi et consultée, précise que les trois diplomates sont priés de quitter le pays sous 48 heures, après avoir été reconnus coupables d’«activités subversives». Début décembre, quatre fonctionnaires français avaient été arrêtés à Ouagadougou, puis mis en examen deux semaines plus tard et incarcérés. Ils étaient principalement accusés d’être membres des agents du renseignement, selon le Burkina Faso, de simples techniciens de maintenance informatique selon une source diplomatique française. Ils se trouvent aujourd’hui en résidence surveillée, selon des sources sécuritaires du Burkina. Mais ce n’est pas le seul cas inquiétant pour la diplomatie entre les deux pays. Dès décembre 2022, deux Français qui travaillaient pour une société burkinabé, avaient été expulsés après avoir été soupçonnés par les autorités d’être des espions.

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