Ce que vient de démontrer la préfecture de Paris en délivrant à Aboud Hicham l’agrément d’une association défendant les libertés et les droits de l’Homme en Algérie. De quel droit ? Un goumi, Ibn goumi, Aboud Hicham, sacrosaint prêcheur de la thématique de liberté, porte-parole agréé des Algériens en France. Un inattendu coup de poignard dans le dos de l’Algérie entière. Un non-respect de la part de cette France qui peine à ramasser ses retraités. Aboud Hicham est sous le coup de plusieurs mandats d’arrêts internationaux. Il est ce traitre qui ne cesse d’invectiver les Algériens et les dirigeants de l’Algérie au vu et au su des Français et les dirigeants français. L’on se demande de cette aubade d’amitié chantée par Macron ! De l’authenticité du discours officiel concernant l’Algérie à chaque fois que l’occasion s’y prêtait. Ceci étant dit, cet énième épisode est déloyal. Dénué de tout esprit cohérent d’avec le discours de la Macronie. Vide de sens de l’amitié tant recherchée entre les deux pays devant être un prélude entre deux peuples liés par tant d’histoires et souvenirs, bons et moins bons, voire par moments dramatiques et sanguinaires. Cette France qui peine à avaler sa nostalgie, à présenter ses excuses et tourner définitivement la page noire de son passé colonial s’habille en diable. La sagesse diplomatique du Président français s’inspire des calomnies, de l’immaturité envers les institutions de la République algérienne, osant parfois nous considérer en ridicules. Cette cat… des services multiples et variés, Hicham Aboud, fait une claire dissertation de cette nouvelle mission, sans doute commanditée par l’administration centrale française. Une association défendant les libertés et les droits de l’Homme en Algérie. Rien que ça ! Il peut le faire du moment que l’objet de ce vil commerce arrange l’Élysée, le Quai d’Orsay, Matignon et la place Beauvau, voire une aubaine consensuelle au plus haut niveau : abattre cette Algérie rebelle.
Cette autorisation à chahuter le travail profond initié par une Algérie nouvelle va certainement provoquer quelque ire sous nos cieux mais aussi la presse qui est dans le devoir pour protéger les constantes nationales et de devenir un porte-flingue contre les deux mouvements terroristes, le MAK et Rachad.
Il est sans appel que l’incorrection, au Maghreb et en Afrique, le ridicule, le désaccord et la division dans notre région n’a qu’un seul souffleur sur les braises : la France. Ce colonisateur qui a du mal avec sa défaite.
L’histoire algérienne a été écrite dans la douleur. Bien avant l’enfumage des caves de Bora Bora, en Afghanistan, en 2001, Bugeaud et ses soldats avaient enfumé toute l’Algérie.
Soutenir des individus malpropres comme les gens du MAK, les Amir DZ, Hicham Aboud et Zitout and Co n’a pour but que de tenter encore une fois de jouer la carte de la déstabilisation d’un pays qui crie haut et fort son indépendance.
S. M.