Société
Il tue sa femme et ses 2 enfants à Relizane : Un père «extermine» sa famille Les habitants d’un quartier tranquille de Relizane se sont réveillés mercredi dernier, sur une terrible affaire de meurtre. Trois membres d’une même famille ont été retrouvés tués dans leur maison familiale.
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- Il tue sa femme et ses 2 enfants à Relizane : Un père «extermine» sa famille Les habitants d’un quartier tranquille de Relizane se sont réveillés mercredi dernier, sur une terrible affaire de meurtre. Trois membres d’une même famille ont été retrouvés tués dans leur maison familiale. https://www.cresus.dz/?p=85962">
Les premiers éléments de l’enquête incriminent le père de famille, seul survivant du massacre et soupçonné d’être atteint de troubles psychiatriques. Le drame s’est déroulé dans le quartier surnommé Dallas, en plein centre de Relizane. La Protection civile a été appelée par les voisins des victimes.La mère de famille tuée était âgée de 60 ans, sa fille 30 ans et son fils âgé d’une vingtaine d’années, tous deux atteints de handicap. Arrivés sur place, les éléments de la Protection civile sont face à une scène d’horreur : 3 corps baignant dans le sang, dans le hall et les chambres de l’appartement. D’après les voisins présents sur place, ce serait le père de famille, un sexagénaire, qui serait à l’origine du crime. Le coupable présumé, interpellé peu après par la police, souffrirait de troubles mentaux. Il est actuellement interrogé pour déterminer le motif du crime. Ce sont les cris provenant de la maison qui auraient alerté les voisins. Le père serait alors sorti précipitamment du domicile, ce qui a éveillé les soupçons de ces derniers. Les corps des victimes ont été transportés vers la morgue de l’hôpital Mohamed-Boudiaf pour y être autopsiés. Pour ce qui est de l’arme du crime, celle-ci n’a pas encore été identifiée, mais il s’agirait d’un objet contondant.
Société
Trafic de drogue : trois réseaux démantelés à Oran
Les services de police d’Oran ont démantelé, lors d’opérations distinctes, trois réseaux spécialisés dans le trafic de drogues et de psychotropes et saisi une quantité de cocaïne, a-t-on appris jeudi auprès de la direction de la Sûreté de wilaya. Ces opérations sont intervenues suite à des informations reçues par la Brigade de lutte contre le trafic illicite de stupéfiants et de psychotropes, sur des réseaux spécialisés dans le trafic des drogues dans les zones urbaines, a indiqué la cellule de communication et des relations publiques. Après de nombreuses investigations sur le terrain menées par les mêmes services, huit individus ont été arrêtés et environ 1,5 kilo de kif traité, 210 gr de cocaïne, 128 comprimés psychotropes et une somme d’argent d’un montant de 320.000 dinars provenant des revenus du trafic ont été saisis, ainsi que trois véhicules utilisés pour transporter les stupéfiants, a-t-on précisé. Les suspects ont été présentés devant la justice, sous l’accusation de détention, trafic et commercialisation de drogues et de psychotropes, selon la même source.
Société
Pour faux et usage de faux : sept individus arrêtés à Annaba
Les éléments de la Gendarmerie nationale de la wilaya d’Annaba ont arrêté sept (7) suspects pour falsification de documents officiels, a indiqué jeudi un communiqué de la Gendarmerie nationale. Dans le cadre de la lutte contre la criminalité, toutes sortes confondues, et agissant sur la base d’informations recueillies par les éléments du service de recherche et d’investigation de la Gendarmerie nationale d’Annaba faisant état de réseau criminel de falsification de documents officiels, il a été procédé à l’arrestation de sept (7) individus âgés de 25 à 70 ans, a précisé la même source. L’opération s’est soldée par «la saisie de 84 cachets secs de différentes administrations publiques, des sceaux personnels, des documents falsifiés, des équipements informatiques, des supports magnétiques, de 13 téléphones portables, un véhicule touristique et des sommes d’argent», lit-on dans le document. Les mis en cause seront présentés devant les juridictions judiciaires compétentes, une fois l’enquête est finalisée, a conclu la même source.
Société
Bechar : Revoilà les triops !
-Les triops, un genre de crustacés d’eau douce, connu sous l’appellation de crevettes têtards, ont fait leur réapparition dans plusieurs zones de la wilaya de Bechar, a révélé jeudi Redouane Tahri, chercheur et réalisateur de documentaires sur la faune et la flore du Sahara. A la suite du bouleversement climatique qu’a connu la région de Bechar début septembre dernier, la réapparition des triops- considérés par les scientifiques comme de véritables «fossiles vivants»- a été constatée (filmés et photographiés), dans le cadre de recherches sur la faune et la flore du Sahara, dans plusieurs Gueltas (étangs) des régions de Lahmar (35 km nord de Bechar) et Abadla (88 km au sud de Bechar), a expliqué à l’APS le chercheur. «Ces crustacés d’eau douce à trois yeux sont restés pratiquement inchangés depuis leur apparition sur terre à la période du dévonien il y a plus de 400 millions d’années», a-t-il expliqué, signalant que les triops sont «un genre de crustacés d’eau douce faisant partie de l’ordre des Notostracés, de la classe des branchiopodes». M. Tahri a indiqué, en outre, que la réapparition de cette espèce aquatique, après plusieurs décennies d’absence, est due au fait que ses œufs sont capables de survivre longtemps dans des environnements arides et semi arides tels que celui de Bechar où les fortes températures estivales peuvent faire disparaitre la plupart des autres organismes, sauf les triops dont les œufs éclosent dès que tombent des pluies torrentielles. Pour le chercheur, «des recherches scientifiques sont nécessaires pour déterminer l’espèce de ces triops qui est réapparue dans la région de la Saoura et le pourquoi de la résistance de leurs œufs à un climat saharien aride, surtout en saison estivale». En plus des triops, M. Tahri a aussi remarqué déjà en 2016 puis en septembre 2024, la réapparition «extraordinaire» de l’artémie, une espèce de crustacés originaire des lacs salés, lagunes et marais salants, mais vivant dans des eaux douces dans plusieurs flaques d’eaux situées en zones montagneuses de la région de Bechar.
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