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Pétrole : Les cours en baisse Les cours du pétrole ont connu une diminution sur les bourses mondiales. Le prix du baril de Brent installé à 79,07 dollars, en régression de 0,32 dollar sur l'Intercontinental Exchange Futures (ICE) de Londres, alors que celui du baril de Light sweet crude a constitué 73,56 dollars, après une baisse de 0,33 dollar, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

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L’impact des risques géopolitiques sur les cours a toutefois été amoindri par la publication hebdomadaire des chiffres des réserves américaines. Les stocks de brut US ont en effet augmenté la semaine dernière aux États-Unis, contrairement aux attentes des analystes, selon des chiffres publiés par l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA). Les stocks ont gonflé de 2,9 millions de barils, alors que les analystes prévoyaient une baisse de quasiment autant. Les stocks d’essence également ont progressé de 2,7 millions de barils, bien plus que l’augmentation de 1,35 million de barils attendues.

 

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Climat des affaires : Laaziz Faid approuve l’enquête de PWC Le ministre des Finances Laaziz Faïd a promptement réagi à l’enquête du bureau d’études PWC paru avant hier, sur le moral des chefs d’entreprises algériennes lesquels ont ajouté que 90% des chefs d'entreprises algériens croient en une dynamique de croissance en 2024.

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Faid a indiqué, mardi dernier, que l’enquête de PWC «reflète réellement les potentialités d’investissement en Algérie et les acquis des chefs d’entreprises algériens. Ce climat de confiance n’est pas le fruit du hasard. Il témoigne de la bonne santé de l’économie algérienne». Intervenant à la 27e édition de Global CEO Survey de PWC, Faid a rappelé qu’un travail de fond a été réalisé par les pouvoirs publics, avec notamment de nombreuses réformes. Mettant en avant des chiffres mis à jour, le ministre des finances a rappelé que le pays à atteint un taux de croissance de 4,1 % en 2023, outre 7.000 projets d’investissement enregistrés au niveau de l’AAPI et la création de 250.000 emplois via des projets récemment lancés dans le pays. «Les indicateurs sont au vert. Je dirai que le taux de croissance de l’Algérie est l’un des meilleurs au niveau du bassin méditerranéen, et cela grâce au climat des affaires favorable et le regain de confiance» a-t-il ajouté. Pour sa part, le président du CREA, Kamel Moula a estimé que «les chiffres révélés par l’enquête de PWC nous confèrent une grande fierté. D’abord pour le pays, ensuite pour les chefs d’entreprises algériens», soulignant que ces patrons ont plus que besoin de cette synergie. Le CEO Survey de PWC, un baromètre relatif au moral des chefs d’entreprises auprès d’un panel de  4.700 dirigeants, dont des dirigeants algériens, a révélé que 90% des chefs d’entreprises algériens «croient en une dynamique croissance en 2024, alors que  87 % sont sereins, estimant que leurs entreprises connaîtront une croissance au cours des trois prochaines années».

 

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Infrastructures portuaires : Traitement de 126 millions de tonnes de marchandises Les ports d’Algérie ont traité 126 millions de tonnes de marchandises et plus de 1,55 million de conteneurs équivalents vingt pieds (EPV) en 2023, a indiqué mardi dernier, le ministre des Transports, Mohamed El-Habib Zahana.

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Le ministre s’exprimait dans une allocution prononcée lors des travaux de la 1ere édition du forum des experts en innovation, durabilité, intelligence et transport logistique (FEDIDIT), organisée sous le patronage du ministre des Transports et du ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises et consacrée au secteur du transport. Zahana a mis en avant les indicateurs positifs enregistrés par le secteur des transports, tous modes confondus, notamment le transport maritime, les ports d’Algérie ayant traité 126 millions de tonnes de marchandises et plus de 1,55 million de conteneurs (EVP), outre le transport de 766.000 voyageurs. S’agissant du transport terrestre, le ministre a révélé que le Groupe Logitrans avait transporté plus de 4,7 millions de tonnes de différentes marchandises en 2023, soit une distance parcourue de près de 126 millions de kilomètres, à bord de quelque 3.500 camions de différents gabarits, dont 600 camions relevant du parc dudit groupe. D’autre part, Zahana a précisé que le nombre de transporteurs routiers publics des voyageurs s’élève à 58.000 transporteurs exploitant 80.000 véhicules pour un total de 2,6 millions de places, en sus du nombre considérable de transporteurs publics de marchandises estimé à 480.000 transporteurs exploitant 745.000 camions avec une charge utile limitée de 8,1 millions de tonnes. Le transport aérien a connu une dynamique et une croissance accélérée durant la période post-Covid 19, les 36 aéroports ouverts à la navigation aérienne publique ayant enregistré près de 15,4 millions de voyageurs, dont 6,7 millions sur le réseau domestique et 8,6 millions sur le réseau international, dépassant ainsi le niveau enregistré avant la pandémie où leur nombre était de 14,3 millions de voyageurs (2019). Dans une déclaration à la presse en marge du forum, Zahana a affirmé que le secteur des Transports est prêt en termes de préparatifs pour la saison du hadj, ajoutant qu’un programme spécial est arrêté pour assurer le transport maritime et aérien durant la saison estivale.

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D’un coût de 3 milliards de dollars : La BN finance les énergies renouvelables Des financements d'appoint auprès des établissements financiers algériens peuvent aussi être envisagés.

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Le coût du programme actuel des énergies renouvelables, dans sa première phase, portant sur la production de 3 GW d’énergie solaire, est estimé à plus de 400 milliards de DA (3 milliards de dollars) et sera couvert par un prêt de la Banque nationale d’Algérie (BNA), a indiqué, mardi dernier, le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab. «Pour le programme actuel, le mécanisme de financement principal retenu consiste en un financement local sous forme de prêt assuré par la Banque nationale d’Algérie. Le coût global de cette première phase de 3300 MW est estimé à 413 milliards de DA, (3 milliards de dollars)», a avancé le ministre lors de sa participation à la première édition- Algérie de l’étude Global CEO Survey du cabinet de conseil PwC. Pour le reste du programme, portant sur la production de 15.000 MW à l’horizon 2035, le mode de financement devrait principalement reposer sur «le développement des projets en IPP (Independent Power Producer), avec des acteurs et opérateurs privés assurant le montage, le financement et l’exploitation des centrales» a encore avancé Arkab lors de sa participation à un panel dédié aux «opportunités des énergies renouvelables en Algérie», organisé à l’occasion. Des financements d’appoint auprès des établissements financiers algériens peuvent aussi être envisagés, a-t-il ajouté. A terme, «nous disposerons d’un cadre propice, combinant mécanismes de financement publics et privés. L’Algérie disposerait des moyens nécessaires pour concrétiser son ambitieux programme de développement des énergies durables», a assuré le ministre. Il a, dans le même sens, évoqué le développement de l’hydrogène, «un objectif prioritaire pour le gouvernement», soulignant que l’Algérie aspirait à devenir un «hub énergétique majeur», en s’impliquant dans des projets pilotes visant à maîtriser l’ensemble de la chaîne de valeur de la production d’hydrogène. Dans sa stratégie, l’Algérie compte développer progressivement l’hydrogène pour son utilisation dans des secteurs à forte consommation d’énergie tels le ciment, les fertilisants, le verre et l’acier, en premier lieu, et développer des grandes capacités à long terme pour produire et exporter 40 TWh (environ 2 millions de tonnes) d’hydrogène et ses dérivés, selon l’exposé du ministre. Il a rappelé, à ce titre, la réalisation, en partenariat avec les sociétés allemandes, de deux (02) projets pilotes de production d’hydrogène vert sur les sites de Sonatrach à Arzew (50MW) et celui de Hassi Messaoud (4MW) pour tester la technique du transport de l’hydrogène. En outre, a-t-il poursuivi, l’Algérie participe activement aux discussions avec ses partenaires européens pour la mise en place du South corridor H2, un projet ambitieux pour le transport de l’hydrogène renouvelable de l’Algérie vers l’Allemagne, via la Tunisie, l’Italie et l’Autriche, en utilisant les gazoducs existants et/ou de nouvelles interconnexions. A long terme, le secteur prévoit même l’introduction de l’électronucléaire civil pour la production de l’électricité, une fois les conditions techniques et technologiques réunies, selon le ministre. Par ailleurs, le pays entend poursuivre son rôle de fournisseur gazier majeur sur la scène internationale. «Le gaz restera une ressource clé accompagnant la transition énergétique», a souligné Arkab.

Généraliser les solutions d’électrification décentralisées

Interrogé sur le développement des solutions d’électrification décentralisée et hors-réseau (off-grid), le ministre a indiqué que ces solutions représentaient des opportunités importantes dans le déploiement des énergies renouvelables en Algérie. Plusieurs expériences concluantes ont déjà été menées en ce sens, a-t-il rappelé citant des villages isolés du sud du pays qui sont aujourd’hui alimentés par des installations solaires ou éoliennes autonomes, ou encore les bases de vie et autres infrastructures de Sonatrach qui utilisent des systèmes énergétiques autonomes hors-réseau. «Les solutions off-grid permettraient d’électrifier de façon durable ces zones tout en offrant une alimentation continue et fiable, grâce au stockage par batterie notamment. Elles présentent également l’avantage d’une empreinte carbone nulle comparativement aux centrales diesel», a-t-il expliqué. Ainsi, il apparaît pertinent, selon Arkab, d’étendre davantage cette approche, notamment auprès de cibles prioritaires à l’exemple des exploitations agricoles du sud, les habitations éparses et les écoles éloignées des réseaux ainsi que quelques projets industriels dans le grand sud. Par ailleurs, le ministre est revenu sur le modèle énergétique national «en cours de finalisation» visant la rationalisation de la demande et la conception d’une «vision prospective» des différents scénarios futurs possibles, soulignant que «des actions concrètes» seront mises en œuvre à travers les lois de finances. L’étude des résultats de ce modèle énergétique permettra de mettre en place une feuille de route à moyen et long terme, dont les objectifs sont d’assurer la sécurité énergétique, en déterminant l’approche la plus appropriée pour une transition énergétique durable, a soutenu le ministre

 

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